I. 21
J'avais confié mon fils à l'hotellierpourquelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place.etLorsque je revins, je récup
érai mon passeport et repris mon fils des bras de l'hotellier, quije sentis qu'il l'avait
gardé de mauvaise grâce, comme contraint, et qui n'avait pas appréciéde support
comme agacé parque mon fils lui tire les cheveux, lui donnedles petites claques amicale
et maladroitesque mon fils lui donnait avec enthousiasme sur le visage. Il me rendit mon fils maladroitement du reste,sur le visageque lui donnait mon fils. L'hotelier memle rendit d'ailleurs immédiatement, avec mon passeport, etconduisit au deuxième étagede l'hôtel,
dans une chambre assez spacieuse, avecétroite qui comptait deux fenêtres, une qui donnait
sur le port et l'autre, à l'arrière,sur la route. De la fenêtre, je pouvais voirnon loin de làun
enclos à l'abandon, aenvahi de mauvaises herbes, avec un figuier défiguré,
presque désséché, et un âne au loin, qui broutait de l'herbedes mauvaises herbes entre des
détritus, des vieilles planches, une barque de pêche retournéeet,
au fond percé.
I. 21
J'avais confié mon fils à l'hotellierquelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place.Lorsque je revins, je récup
érai mon passeport et repris mon fils des bras de l'hotellier, qui l'avait
gardé de mauvaise grâce, comme contraint, et qui n'avait pas apprécié
que mon fils lui tire les cheveux, lui donnedes petites claques amicale
et maladroitessur le visage. L'hotelier meconduisit au deuxième étage,
dans une chambre assez spacieuse, avec deux fenêtres, une qui donnait
sur le port et l'autresur la route. De la fenêtre, je pouvais voirun
enclos à l'abandon, aenvahi de mauvaises herbes, avec un figuier défiguré,
presque désséché, et un âne au loin, qui broutait de l'herbe entre des
détritus, des vieilles planches, une barque de pêche retournéeet
au fond percé.
I. 21
J'avais confié mon fils à l'hotellierpourquelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place.etLorsque je revins, je récup
érai mon passeport et repris mon fils des bras de l'hotellier, quije sentis qu'il l'avait
gardé de mauvaise grâce, comme contraint, et qui n'avait pas appréciéde support
comme agacé parque mon fils lui tire les cheveux, lui donnedles petites claques amicale
et maladroitesque mon fils lui donnait avec enthousiasme sur le visage. Il me rendit mon fils maladroitement du reste,sur le visageque lui donnait mon fils. L'hotelier memle rendit d'ailleurs immédiatement, avec mon passeport, etconduisit au deuxième étagede l'hôtel,
dans une chambre assez spacieuse, avecétroite qui comptait deux fenêtres, une qui donnait
sur le port et l'autre, à l'arrière,sur la route. De la fenêtre, je pouvais voirnon loin de làun
enclos à l'abandon, aenvahi de mauvaises herbes, avec un figuier défiguré,
presque désséché, et un âne au loin, qui broutait de l'herbedes mauvaises herbes entre des
détritus, des vieilles planches, une barque de pêche retournéeet,
au fond percé.
I. 21
J'avais confié mon fils à l'hotellierquelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place.Lorsque je revins, je récup
érai mon passeport et repris mon fils des bras de l'hotellier, qui l'avait
gardé de mauvaise grâce, comme contraint, et qui n'avait pas apprécié
que mon fils lui tire les cheveux, lui donnedes petites claques amicale
et maladroitessur le visage. L'hotelier meconduisit au deuxième étage,
dans une chambre assez spacieuse, avec deux fenêtres, une qui donnait
sur le port et l'autresur la route. De la fenêtre, je pouvais voirun
enclos à l'abandon, aenvahi de mauvaises herbes, avec un figuier défiguré,
presque désséché, et un âne au loin, qui broutait de l'herbe entre des
détritus, des vieilles planches, une barque de pêche retournéeet
au fond percé.