I. 75
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
j'allais me promener dans le village tandis que mon fils dormait encore.
Les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, et je m'habillais
lentement dans l'obscurité, prenant un par un mes vêtements sur la
chaise le plus doucement possible pour ne pas ??? réveillermon fils, dont mon fils qui dormait à côté de moi et dont je pouvais j'entendais??? le souffle régulier. qui dormait et dont
j'entendais à côté de moi le souffle régulier à côté de moi . J'avais installé son
lit de voyage près de la fenêtre, un petit lit assez pratique et
démontable qui consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes e
et creux qui s'emboîtaient les uns dans les autres pour composer une
structure rigide rectangulaire, sorte de petit centre Pompidou dont
l'armature servait de support à une confortable enveloppe de tissu
multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins. Mon fils
dormait là dans une grenouillère blanche, immobile sur le dos,le souffle régulier,??? en silence avec régularité un
petit bras replié en bouclier sur la poitrine. Je quittais la chambre
sans faire de bruitaprès m'être assuré qu'il dormait, et je m'éloignais
dans les couloirssilencieux déserts de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermées. closes derrière laquelle aucun bruit ne se faisait entendre . Laréception était Au bas des escaliers,??? tout aussi silencieuse et déserte, et, comme
la porte principale de l'hôtel avait été verouillée pour la nuit, je devais
sortir par une porte de servicequi donnait sur la salle . Il faisait à peine jourdehors dans le village,
et,sur la place du village endormie et déserte , l'atmosphèresilencieuse de la place était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.
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Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
j'allais me promener dans le village tandis que mon fils dormait encore.
Les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, et je m'habillais
lentement dans l'obscurité, prenant un par un mes vêtements sur la
chaise le plus doucement possible pour ne pas réveillermon fils, dont
j'entendais le souffle régulier à côté de moi . J'avais installé son
lit de voyage près de la fenêtre, un petit lit assez pratique et
démontable qui consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes e
et creux qui s'emboîtaient les uns dans les autres pour composer une
structure rigide rectangulaire, sorte de petit centre Pompidou dont
l'armature servait de support à une confortable enveloppe de tissu
multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins. Mon fils
dormait là dans une grenouillère blanche, immobile sur le dos,un
petit bras replié en bouclier sur la poitrine. Je quittais la chambre
sans faire de bruitaprès m'être assuré qu'il dormait, et je m'éloignais
dans les couloirssilencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermées. . Laréception était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme
la porte principale de l'hôtel avait été verouillée pour la nuit, je devais
sortir par une porte de service . Il faisait à peine jour dans le village,
et,sur la place endormie et déserte , l'atmosphère était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.
I. 75
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
j'allais me promener dans le village tandis que mon fils dormait encore.
Les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, et je m'habillais
lentement dans l'obscurité, prenant un par un mes vêtements sur la
chaise le plus doucement possible pour ne pas ??? réveillermon fils, dont mon fils qui dormait à côté de moi et dont je pouvais j'entendais??? le souffle régulier. qui dormait et dont
j'entendais à côté de moi le souffle régulier à côté de moi . J'avais installé son
lit de voyage près de la fenêtre, un petit lit assez pratique et
démontable qui consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes e
et creux qui s'emboîtaient les uns dans les autres pour composer une
structure rigide rectangulaire, sorte de petit centre Pompidou dont
l'armature servait de support à une confortable enveloppe de tissu
multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins. Mon fils
dormait là dans une grenouillère blanche, immobile sur le dos,le souffle régulier,??? en silence avec régularité un
petit bras replié en bouclier sur la poitrine. Je quittais la chambre
sans faire de bruitaprès m'être assuré qu'il dormait, et je m'éloignais
dans les couloirssilencieux déserts de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermées. closes derrière laquelle aucun bruit ne se faisait entendre . Laréception était Au bas des escaliers,??? tout aussi silencieuse et déserte, et, comme
la porte principale de l'hôtel avait été verouillée pour la nuit, je devais
sortir par une porte de servicequi donnait sur la salle . Il faisait à peine jourdehors dans le village,
et,sur la place du village endormie et déserte , l'atmosphèresilencieuse de la place était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.
I. 75
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
j'allais me promener dans le village tandis que mon fils dormait encore.
Les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, et je m'habillais
lentement dans l'obscurité, prenant un par un mes vêtements sur la
chaise le plus doucement possible pour ne pas réveillermon fils, dont
j'entendais le souffle régulier à côté de moi . J'avais installé son
lit de voyage près de la fenêtre, un petit lit assez pratique et
démontable qui consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes e
et creux qui s'emboîtaient les uns dans les autres pour composer une
structure rigide rectangulaire, sorte de petit centre Pompidou dont
l'armature servait de support à une confortable enveloppe de tissu
multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins. Mon fils
dormait là dans une grenouillère blanche, immobile sur le dos,un
petit bras replié en bouclier sur la poitrine. Je quittais la chambre
sans faire de bruitaprès m'être assuré qu'il dormait, et je m'éloignais
dans les couloirssilencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermées. . Laréception était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme
la porte principale de l'hôtel avait été verouillée pour la nuit, je devais
sortir par une porte de service . Il faisait à peine jour dans le village,
et,sur la place endormie et déserte , l'atmosphère était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.