I. 194
Vers deux ou trois heures du matin, la nuit suivante,je sortis de quittais mon lit ma chambrechambre d'hôtel, sortis,
ma chambre le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,
longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne
se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que
la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai
la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à
manger de l'hôtel,qui était très sombre et silencieuse, toute baignéed'une de d'une clarté lunaire qui entrait
dans la pièce par la grande baie vitréedont les vitres qui donnait sur une petite terrasse très
sombre où quelques tamaris très sombres se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient
de dans l'obscurité de la pièce les lumières bleutées d'un aquarium ??? dans l'obscurité de la pièce dans l'obscurité, de de la pièceun peu un peu où quelques poissons
allaient et venaient évoluaient lentement dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà
dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire
qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement
découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée
une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-
nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse sans bruit et me dirigeaisans
bruit vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-
ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,
avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée sur elle-même pour
me glisser dehors.
Les contours d'une terrassederrière laquelle se dessinaient derrière les vitres, où ??? quelquestroncs
de tamaristrsè sombres se dressaient. dans l'ombre. étaient dressés??? étaient dressés
??? ressortait de l'obscurité, où quelques poissons allaient et venaient en silence
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Vers deux ou trois heures du matin, la nuit suivante,je sortis de
ma chambre le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,
longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne
se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que
la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai
la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à
manger de l'hôtel,qui était toute baignéed'une clarté lunaire qui entrait
dans la pièce par la grande baie vitrée qui donnait sur une terrasse très
sombre où quelques tamaris se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient
de l'obscurité les lumières bleutées d'un aquarium où quelques poissons
évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà
dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire
qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement
découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée
une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-
nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse et me dirigeaisans
bruit vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-
ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,
avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée sur elle-même pour
me glisser dehors.
Les contours d'une terrasse se dessinaient derrière les vitres où quelques
tamaristrsè sombres se dressaient.
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Vers deux ou trois heures du matin, la nuit suivante,je sortis de quittais mon lit ma chambrechambre d'hôtel, sortis,
ma chambre le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,
longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne
se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que
la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai
la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à
manger de l'hôtel,qui était très sombre et silencieuse, toute baignéed'une de d'une clarté lunaire qui entrait
dans la pièce par la grande baie vitréedont les vitres qui donnait sur une petite terrasse très
sombre où quelques tamaris très sombres se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient
de dans l'obscurité de la pièce les lumières bleutées d'un aquarium ??? dans l'obscurité de la pièce dans l'obscurité, de de la pièceun peu un peu où quelques poissons
allaient et venaient évoluaient lentement dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà
dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire
qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement
découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée
une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-
nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse sans bruit et me dirigeaisans
bruit vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-
ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,
avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée sur elle-même pour
me glisser dehors.
Les contours d'une terrassederrière laquelle se dessinaient derrière les vitres, où ??? quelquestroncs
de tamaristrsè sombres se dressaient. dans l'ombre. étaient dressés??? étaient dressés
??? ressortait de l'obscurité, où quelques poissons allaient et venaient en silence
I. 194
Vers deux ou trois heures du matin, la nuit suivante,je sortis de
ma chambre le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,
longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne
se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que
la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai
la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à
manger de l'hôtel,qui était toute baignéed'une clarté lunaire qui entrait
dans la pièce par la grande baie vitrée qui donnait sur une terrasse très
sombre où quelques tamaris se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient
de l'obscurité les lumières bleutées d'un aquarium où quelques poissons
évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà
dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire
qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement
découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée
une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-
nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse et me dirigeaisans
bruit vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-
ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,
avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée sur elle-même pour
me glisser dehors.
Les contours d'une terrasse se dessinaient derrière les vitres où quelques
tamaristrsè sombres se dressaient.