I. 196
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le
vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai
sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombrede ma chambre , prenant un par un mes
vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
où régnait une pénombre
I. 196
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le
vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai
sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombre , prenant un par un mes
vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
où régnait une pénombre
I. 196
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le
vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai
sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombrede ma chambre , prenant un par un mes
vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
où régnait une pénombre
I. 196
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le
vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai
sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombre , prenant un par un mes
vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
où régnait une pénombre