I. 220
Je me relevais
Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre
d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la de clarté lunaire qui pénétrait
dans la pièce par la fenêtre et formait comme une mare blanche au pied de mon
lit, je me relevais t m'habillai sans bruitlentement sans bruit dans la'profonde obscurité de la chambre d'hôtel,dont les volets étaient fermés dans le noir, prenant un parun
mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que la porte principale de
l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la
porte close de la chambre des patronsde l'hôtel et m'introduisis dans
la salle à mangerde l'hôtel qui était toute baignée d'obscurité|
et dont la baie vitrée qui donnait sur une terrasse et à travers laquelle quelques tamaris se devinaient dans l'ombre
I. 220
Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre
d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la clarté lunaire qui pénétrait
dans la pièce par la fenêtre formait comme une mare blanche au pied de mon
lit, je me relevai t m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un parun
mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que la porte principale de
l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la
porte close de la chambre des patronsde l'hôtel et m'introduisis dans
la salle à manger toute baignée d'obscurité
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Je me relevais
Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre
d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la de clarté lunaire qui pénétrait
dans la pièce par la fenêtre et formait comme une mare blanche au pied de mon
lit, je me relevais t m'habillai sans bruitlentement sans bruit dans la'profonde obscurité de la chambre d'hôtel,dont les volets étaient fermés dans le noir, prenant un parun
mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que la porte principale de
l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la
porte close de la chambre des patronsde l'hôtel et m'introduisis dans
la salle à mangerde l'hôtel qui était toute baignée d'obscurité|
et dont la baie vitrée qui donnait sur une terrasse et à travers laquelle quelques tamaris se devinaient dans l'ombre
I. 220
Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre
d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la clarté lunaire qui pénétrait
dans la pièce par la fenêtre formait comme une mare blanche au pied de mon
lit, je me relevai t m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un parun
mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler
mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et
m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée
de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.
Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que la porte principale de
l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la
porte close de la chambre des patronsde l'hôtel et m'introduisis dans
la salle à manger toute baignée d'obscurité