I. 282
Je ne faisais rien, et le jour se levait peu à peu. La lune ??? , encore
présente dans le ciel déjà bleu, n'éclairait déjà plus la mer dont la
surface très sombre frémissait à peine. peu à peu, à mesure que le soleil
s'élevait derrière la montagne,qui éclairant déjà le versant opposéde la montagne??? dans l'ombre celui qui --> la baie de Sasuelo, les
barques et les rochers,les fleurs et les arbres prenaient des teintesroses et
orangées qui gagnaient peu à peu en densité tandis que les contours
des maisons du village, au loin , devenaient plusfermes et précis et sortientlentement
progressivement de l'indécision de la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en
une seconde irréversible, le soleil passait la montagne et inondait la
baie de la lumière du jour.
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Je ne faisais rien, et le jour se levait peu à peu. La lune , encore
présente dans le ciel déjà bleu, n'éclairait déjà plus la mer dont la
surface très sombre frémissait à peine. peu à peu, à mesure que le soleil
s'élevait derrière la montagne, éclairant déjà le versant opposé, les
barques et les rochers,les fleurs et les arbres prenaient des teintes
orangées qui gagnaient peu à peu en densité tandis que les contours
des maisons du village, au loin , devenaient plusprécis et sortient
progressivement de l'indécision de la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en
une seconde irréversible, le soleil passait la montagne et inondait la
baie de la lumière du jour.
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Je ne faisais rien, et le jour se levait peu à peu. La lune ??? , encore
présente dans le ciel déjà bleu, n'éclairait déjà plus la mer dont la
surface très sombre frémissait à peine. peu à peu, à mesure que le soleil
s'élevait derrière la montagne,qui éclairant déjà le versant opposéde la montagne??? dans l'ombre celui qui --> la baie de Sasuelo, les
barques et les rochers,les fleurs et les arbres prenaient des teintesroses et
orangées qui gagnaient peu à peu en densité tandis que les contours
des maisons du village, au loin , devenaient plusfermes et précis et sortientlentement
progressivement de l'indécision de la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en
une seconde irréversible, le soleil passait la montagne et inondait la
baie de la lumière du jour.
I. 282
Je ne faisais rien, et le jour se levait peu à peu. La lune , encore
présente dans le ciel déjà bleu, n'éclairait déjà plus la mer dont la
surface très sombre frémissait à peine. peu à peu, à mesure que le soleil
s'élevait derrière la montagne, éclairant déjà le versant opposé, les
barques et les rochers,les fleurs et les arbres prenaient des teintes
orangées qui gagnaient peu à peu en densité tandis que les contours
des maisons du village, au loin , devenaient plusprécis et sortient
progressivement de l'indécision de la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en
une seconde irréversible, le soleil passait la montagne et inondait la
baie de la lumière du jour.