I. 284
Je m'éloignai lentement sur la place, laissant derrière moi la Mercedes
LEVER et la flaqued'eauqui reflétait mon absenceinexplicable, et je pris la direction du port,
DU longeai la petit jetée de pierre silencieuse et déserte, où quelques
JOUR barques ancrées dans l'obscurité tanguaient imperceptiblement le long de
leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de
grincement de cordes. Je m'assis contre le parapet et attendis Je ne faisais rien, j'étais assis et je regardais le jour se lever. que regardais le jour
qui entrait dele soleille jour se lèver???. J'aime que leregarder le jour se lèver en effet,ou se coucher tout autantd'ailleurs,
tout autant, pourvu qu'il y ait de l'action.J'aime regarder longuement le jour se lever, etet se coucher tout autant, Oh, ce n'était pas le
carnaval de Rio,du point de vue de l'action, mais, peu à peu, à mesure
que le soleil se ??? levait derrière la montagne, les arbres et les maisons
du village, les barques et les rochers, la mer même, encore très sombre, et frémissante,
prenaient des teintes roses et orangées qui gagnait en densité tandis que les contours des choses demeuraient peu à peu plusnet et plus précises, et sortait progressivement de latorpeur indécision de la nuitpour s'aguerrir pour et s'aiguiser et se??? dans l'air de la nuit pour s'aiguiser??? et s'affermir jusqu'à ce quetout d'un coup,
en une secondeet irréversible, le soleil passaitmla montagne et inondait lamer baie
de la lumière du jour.
C'est ce matin-là, peu après le lever du jour, que j'avais découvert le chat mort dans le port.
I. 284
Je m'éloignai lentement sur la place, laissant derrière moi la Mercedes
et la flaquequi reflétait mon absence, et je pris la direction du port,
longeai la petit jetée de pierre silencieuse et déserte, où quelques
barques ancrées dans l'obscurité tanguaient imperceptiblement le long de
leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de
grincement de cordes. Je m'assis contre le parapet et attendis que
le soleil se lève. J'aime que le jour se lève en effet,ou se couche
tout autant, pourvu qu'il y ait de l'action. Oh, ce n'était pas le
carnaval de Rio,du point de vue de l'action, mais, peu à peu, à mesure
que le soleil se levait derrière la montagne, les arbres et les maisons
du village, les barques et les rochers, la mer même, encore très sombre,
prenaient des teintes roses et orangées jusqu'à ce que d'un coup,
en une secondeet , le soleil passaitmla montagne et inondait lamer
de la lumière du jour.
I. 284
Je m'éloignai lentement sur la place, laissant derrière moi la Mercedes
LEVER et la flaqued'eauqui reflétait mon absenceinexplicable, et je pris la direction du port,
DU longeai la petit jetée de pierre silencieuse et déserte, où quelques
JOUR barques ancrées dans l'obscurité tanguaient imperceptiblement le long de
leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de
grincement de cordes. Je m'assis contre le parapet et attendis Je ne faisais rien, j'étais assis et je regardais le jour se lever. que regardais le jour
qui entrait dele soleille jour se lèver???. J'aime que leregarder le jour se lèver en effet,ou se coucher tout autantd'ailleurs,
tout autant, pourvu qu'il y ait de l'action.J'aime regarder longuement le jour se lever, etet se coucher tout autant, Oh, ce n'était pas le
carnaval de Rio,du point de vue de l'action, mais, peu à peu, à mesure
que le soleil se ??? levait derrière la montagne, les arbres et les maisons
du village, les barques et les rochers, la mer même, encore très sombre, et frémissante,
prenaient des teintes roses et orangées qui gagnait en densité tandis que les contours des choses demeuraient peu à peu plusnet et plus précises, et sortait progressivement de latorpeur indécision de la nuitpour s'aguerrir pour et s'aiguiser et se??? dans l'air de la nuit pour s'aiguiser??? et s'affermir jusqu'à ce quetout d'un coup,
en une secondeet irréversible, le soleil passaitmla montagne et inondait lamer baie
de la lumière du jour.
C'est ce matin-là, peu après le lever du jour, que j'avais découvert le chat mort dans le port.
I. 284
Je m'éloignai lentement sur la place, laissant derrière moi la Mercedes
et la flaquequi reflétait mon absence, et je pris la direction du port,
longeai la petit jetée de pierre silencieuse et déserte, où quelques
barques ancrées dans l'obscurité tanguaient imperceptiblement le long de
leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de
grincement de cordes. Je m'assis contre le parapet et attendis que
le soleil se lève. J'aime que le jour se lève en effet,ou se couche
tout autant, pourvu qu'il y ait de l'action. Oh, ce n'était pas le
carnaval de Rio,du point de vue de l'action, mais, peu à peu, à mesure
que le soleil se levait derrière la montagne, les arbres et les maisons
du village, les barques et les rochers, la mer même, encore très sombre,
prenaient des teintes roses et orangées jusqu'à ce que d'un coup,
en une secondeet , le soleil passaitmla montagne et inondait lamer
de la lumière du jour.