I. 297
Au bas des escaliers,, dans un renfoncement du mur, se trouvait laporte porte de chambre des patrons de l'hôtel
sur laquelleétait fixée une petite pancarteavait été fixée qui indiquait le
caractère privé des lieux. Je passaisans bruit devant la portederrière laquelle aucun bruit ne se faisait entendre et
gagnai la je traversai alors le hall de réception de l'hôtel. TOut étaitsombre et sile
qui était très sombre,le petit tableau de clefs se découpait dans la pénombre derrière le comptoir ??? se??? le mur et se découpait dans l'obscurité
Je soulevai le battant amovible du comptoir pour passer derrière
le bureau
Arrivé à la réception de l'hôtel??? très sombre,
Je soulevai le petit battant amovinle pour Je passeris sans bruit derrière le comptoir
et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une
étagère, un grand registre en cuir noir granuleux, quej'ouvris aje feuilletais un instant avant de ??? medebout rendre
immédiatement ??? aux dernières pages. Comme je le pensais, car je me
souvenais très bien que quand j'étais arrivé à l'hôtel, la patron
m'avaitbien demandé mon passeport, maisil l'avait à peine ouvert
et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été enregistré
et aucun tracen'existait à ma connaissancede mon passage à Sasuelon'existait à ma connaissance. en conséquence.
I. 297
Au bas des escaliers, se trouvait la chambre des patrons de l'hôtel
sur laquelle une petite pancarteavait été fixée qui indiquait le
caractère privé des lieux. Je passaisans bruit devant la porte et
gagnai la réception de l'hôtel. TOut étaitsombre et sile
Je soulevai le battant amovible du comptoir pour passer derrière
le bureau
Je soulevai le petit battant amovinle pour passer derrière le comptoir
et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une
étagère, un grand registre en cuir noir granuleux, quej'ouvris
immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais, car je me
souvenais très bien que quand j'étais arrivé à l'hôtel, la patron
m'avaitbien demandé mon passeport, maisil l'avait à peine ouvert
et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été enregistré
et aucun tracede mon passage à Sasuelon'existait à ma connaissance.
I. 297
Au bas des escaliers,, dans un renfoncement du mur, se trouvait laporte porte de chambre des patrons de l'hôtel
sur laquelleétait fixée une petite pancarteavait été fixée qui indiquait le
caractère privé des lieux. Je passaisans bruit devant la portederrière laquelle aucun bruit ne se faisait entendre et
gagnai la je traversai alors le hall de réception de l'hôtel. TOut étaitsombre et sile
qui était très sombre,le petit tableau de clefs se découpait dans la pénombre derrière le comptoir ??? se??? le mur et se découpait dans l'obscurité
Je soulevai le battant amovible du comptoir pour passer derrière
le bureau
Arrivé à la réception de l'hôtel??? très sombre,
Je soulevai le petit battant amovinle pour Je passeris sans bruit derrière le comptoir
et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une
étagère, un grand registre en cuir noir granuleux, quej'ouvris aje feuilletais un instant avant de ??? medebout rendre
immédiatement ??? aux dernières pages. Comme je le pensais, car je me
souvenais très bien que quand j'étais arrivé à l'hôtel, la patron
m'avaitbien demandé mon passeport, maisil l'avait à peine ouvert
et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été enregistré
et aucun tracen'existait à ma connaissancede mon passage à Sasuelon'existait à ma connaissance. en conséquence.
I. 297
Au bas des escaliers, se trouvait la chambre des patrons de l'hôtel
sur laquelle une petite pancarteavait été fixée qui indiquait le
caractère privé des lieux. Je passaisans bruit devant la porte et
gagnai la réception de l'hôtel. TOut étaitsombre et sile
Je soulevai le battant amovible du comptoir pour passer derrière
le bureau
Je soulevai le petit battant amovinle pour passer derrière le comptoir
et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une
étagère, un grand registre en cuir noir granuleux, quej'ouvris
immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais, car je me
souvenais très bien que quand j'étais arrivé à l'hôtel, la patron
m'avaitbien demandé mon passeport, maisil l'avait à peine ouvert
et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été enregistré
et aucun tracede mon passage à Sasuelon'existait à ma connaissance.