I. 321
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si,en dans le même temps,
je svais très bien queles voirles Biaggi m'attristerait et me ferait du mal.
Le jour de mon arrivée d'ailleurs, pour les voir que j'étais venubien que je??? alors quej'étais venu : c'était pour??? à Sasuelo pour les voir, j'avais ??? encore retarder le moment de leur rendre visite repoussant sans cesse le moment d'aller
le rendre visite, j'avais passé presque toute l'après-midi à l'hôtel et
quand j'étais sorti, en fin d'après-midi
I. 321
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si,en même temps,
je svais très bien que voirles Biaggi m'attristerait et me ferait du mal.
Le jour de mon arrivée d'ailleurs, repoussant sans cesse le moment d'aller
le rendre visite, j'avais passé presque toute l'après-midi à l'hôtel et
quand j'étais sorti, en fin d'après-midi
I. 321
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si,en dans le même temps,
je svais très bien queles voirles Biaggi m'attristerait et me ferait du mal.
Le jour de mon arrivée d'ailleurs, pour les voir que j'étais venubien que je??? alors quej'étais venu : c'était pour??? à Sasuelo pour les voir, j'avais ??? encore retarder le moment de leur rendre visite repoussant sans cesse le moment d'aller
le rendre visite, j'avais passé presque toute l'après-midi à l'hôtel et
quand j'étais sorti, en fin d'après-midi
I. 321
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si,en même temps,
je svais très bien que voirles Biaggi m'attristerait et me ferait du mal.
Le jour de mon arrivée d'ailleurs, repoussant sans cesse le moment d'aller
le rendre visite, j'avais passé presque toute l'après-midi à l'hôtel et
quand j'étais sorti, en fin d'après-midi