I. 327
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi (c'était
en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, où
ils possédaient une propriété légèrement en dehors du village sur un
petit monticule qui dominait la mer), et quand j'avais fini par m'y
décider et que j'avais suivi la route qui montait en laçets le long
des rochers en poussant devant moi la voiture d'ebnfant de mon fils,
qui se tenait assis très droit comme d'habitude
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. C'é
tait en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, mais
dans le mêmemouvement temps, je savaistrès bienque les voir m'attristeraient,
et quand j'avais fini par me décider à leurrendre faire une visite,en fin
d'après-midi, et que j'avais suivi la route le long des rochers en
poussant devant moi la voiture d'enfant de mon fils, j'avais remarqué
de loin que tous les volets de leur maison étaient fermés. C'était
une villa de construction récente, blanche et bleue, ssss avec des
tommetes sur la terrasse et deux grandes jarres décoratives qui bordaient
la baie vitrée de la porte-fenêtre.
petite grille blanche en fer sur laquelle était fixée une boîte aux lettres
et quand, après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, j'avais
enfin fini par me décider à leur faire une visite
etquand ??? à peine étais-je??? ,après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, malgré
toutes mes hésitations et toutes les complications que représentaient
pour moi la présence de mon fils, j'étais arrivé dans le village, d'aller, malgréaprès toutes les hésitations qui avaient précédaient mon départ, comme je n'étais pas certain de vraiment vouloir voir les Biaggi en ce moment, quand j'étais arrivé à Sasuelo, j'avais commencé par renoncer à l'idée de voir les Biaggi
j'avaiscommencéà par ??? commencé par reno,nceér à l'idée de les voir, et ce n'est que'en fin
quand, en fin d'après-midi,quej'avaisenfin fini par me décider à leur
faire une visite,que je pensai très brève je m'imaginais très brève,<d1>
juste pour leur signaler ma présence, en quelque sorte,[d1]et que j'avais
(de toute manière, les Biaggi n'étaient pasà Sasuelo à ce moment-là)
I. 327
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi (c'était
en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, où
ils possédaient une propriété légèrement en dehors du village sur un
petit monticule qui dominait la mer), et quand j'avais fini par m'y
décider et que j'avais suivi la route qui montait en laçets le long
des rochers en poussant devant moi la voiture d'ebnfant de mon fils,
qui se tenait assis très droit comme d'habitude
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. C'é
tait en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, mais
dans le mêmemouvement temps, je savaisque les voir m'attristeraient,
et quand j'avais fini par me décider à leurrendre visite,en fin
d'après-midi, et que j'avais suivi la route le long des rochers en
poussant devant moi la voiture d'enfant de mon fils, j'avais remarqué
de loin que tous les volets de leur maison étaient fermés. C'était
une villa de construction récente, blanche et bleue, ssss avec des
tommetes sur la terrasse et deux grandes jarres décoratives qui bordaient
la baie vitrée de la porte-fenêtre.
et quand, après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, j'avais
enfin fini par me décider à leur faire une visite
etquand ,après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, malgré
toutes mes hésitations et toutes les complications que représentaient
pour moi la présence de mon fils, j'étais arrivé dans le village,
j'avaiscommencéà par reno,ncer à l'idée de les voir, et ce n'est que
quand, en fin d'après-midi,j'avaisenfin fini par me décider à leur
faire une visite,que je pensai très brève je m'imaginais très brève,
juste pour leur signaler ma présenceen quelque sorte,et que j'avais
I. 327
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi (c'était
en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, où
ils possédaient une propriété légèrement en dehors du village sur un
petit monticule qui dominait la mer), et quand j'avais fini par m'y
décider et que j'avais suivi la route qui montait en laçets le long
des rochers en poussant devant moi la voiture d'ebnfant de mon fils,
qui se tenait assis très droit comme d'habitude
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. C'é
tait en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, mais
dans le mêmemouvement temps, je savaistrès bienque les voir m'attristeraient,
et quand j'avais fini par me décider à leurrendre faire une visite,en fin
d'après-midi, et que j'avais suivi la route le long des rochers en
poussant devant moi la voiture d'enfant de mon fils, j'avais remarqué
de loin que tous les volets de leur maison étaient fermés. C'était
une villa de construction récente, blanche et bleue, ssss avec des
tommetes sur la terrasse et deux grandes jarres décoratives qui bordaient
la baie vitrée de la porte-fenêtre.
petite grille blanche en fer sur laquelle était fixée une boîte aux lettres
et quand, après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, j'avais
enfin fini par me décider à leur faire une visite
etquand ??? à peine étais-je??? ,après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, malgré
toutes mes hésitations et toutes les complications que représentaient
pour moi la présence de mon fils, j'étais arrivé dans le village, d'aller, malgréaprès toutes les hésitations qui avaient précédaient mon départ, comme je n'étais pas certain de vraiment vouloir voir les Biaggi en ce moment, quand j'étais arrivé à Sasuelo, j'avais commencé par renoncer à l'idée de voir les Biaggi
j'avaiscommencéà par ??? commencé par reno,nceér à l'idée de les voir, et ce n'est que'en fin
quand, en fin d'après-midi,quej'avaisenfin fini par me décider à leur
faire une visite,que je pensai très brève je m'imaginais très brève,<d1>
juste pour leur signaler ma présence, en quelque sorte,[d1]et que j'avais
(de toute manière, les Biaggi n'étaient pasà Sasuelo à ce moment-là)
I. 327
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi (c'était
en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, où
ils possédaient une propriété légèrement en dehors du village sur un
petit monticule qui dominait la mer), et quand j'avais fini par m'y
décider et que j'avais suivi la route qui montait en laçets le long
des rochers en poussant devant moi la voiture d'ebnfant de mon fils,
qui se tenait assis très droit comme d'habitude
Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. C'é
tait en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, mais
dans le mêmemouvement temps, je savaisque les voir m'attristeraient,
et quand j'avais fini par me décider à leurrendre visite,en fin
d'après-midi, et que j'avais suivi la route le long des rochers en
poussant devant moi la voiture d'enfant de mon fils, j'avais remarqué
de loin que tous les volets de leur maison étaient fermés. C'était
une villa de construction récente, blanche et bleue, ssss avec des
tommetes sur la terrasse et deux grandes jarres décoratives qui bordaient
la baie vitrée de la porte-fenêtre.
et quand, après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, j'avais
enfin fini par me décider à leur faire une visite
etquand ,après m'être finalement décidé à me rendre à Sasuelo, malgré
toutes mes hésitations et toutes les complications que représentaient
pour moi la présence de mon fils, j'étais arrivé dans le village,
j'avaiscommencéà par reno,ncer à l'idée de les voir, et ce n'est que
quand, en fin d'après-midi,j'avaisenfin fini par me décider à leur
faire une visite,que je pensai très brève je m'imaginais très brève,
juste pour leur signaler ma présenceen quelque sorte,et que j'avais