I. 342
De retour dans la chambre d'hôtel, je passais des heures allongé
sur le lit à barreaux qui occupait le centre de la pièce, parmi mon
matériel de pêche que j'avais réparti sur le parquet, mes cannes et mes
palangrottes soigneusement enroulées, mes plombs, mes sachets d'hameçons
de calibres divers, plus ou moins tranchants et effilés.[ Je ne pêchais
pratiquement pas pendant la journée, non, mais, à la tombée de la nuit,
je me rendais dans le port pour poser une ou deux lignes mortes, que
je lançais de l'extrémité de la jetée en faisant tournoyerla lignedans
le ??? oirs comme un lasso pour envoyer l'appât le plus loin possible
dans la mer,avec un très gros hameçon, dans l'espoir de prendre un
loup ou un denti. Puis, tandis que l'appât s'enfonçait lentement dansles flots
l'eau pour aller reposer par dix ou quinze mètres de fond, je calais
solidement [d1]entre deux gros rochers le carré de liège qui servait de support
à la ligne <d1>,, et je regagnais l'hôtel pour aller dîner.
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De retour dans la chambre d'hôtel, je passais des heures allongé
sur le lit à barreaux qui occupait le centre de la pièce, parmi mon
matériel de pêche que j'avais réparti sur le parquet, mes cannes et mes
palangrottes soigneusement enroulées, mes plombs, mes sachets d'hameçons
de calibres divers, plus ou moins tranchants et effilés. Je ne pêchais
pratiquement pas pendant la journée, non, mais, à la tombée de la nuit,
je me rendais dans le port pour poser une ou deux lignes mortes, que
je lançais de l'extrémité de la jetée en faisant tournoyerla lignedans
le oirs comme un lasso pour envoyer l'appât le plus loin possible
dans la mer,avec un très gros hameçon, dans l'espoir de prendre un
loup ou un denti. Puis, tandis que l'appât s'enfonçait lentement dans
l'eau pour aller reposer par dix ou quinze mètres de fond, je calais
solidement entre deux gros rochers le carré de liège qui servait de support
à la ligne , et je regagnais l'hôtel pour aller dîner.
I. 342
De retour dans la chambre d'hôtel, je passais des heures allongé
sur le lit à barreaux qui occupait le centre de la pièce, parmi mon
matériel de pêche que j'avais réparti sur le parquet, mes cannes et mes
palangrottes soigneusement enroulées, mes plombs, mes sachets d'hameçons
de calibres divers, plus ou moins tranchants et effilés.[ Je ne pêchais
pratiquement pas pendant la journée, non, mais, à la tombée de la nuit,
je me rendais dans le port pour poser une ou deux lignes mortes, que
je lançais de l'extrémité de la jetée en faisant tournoyerla lignedans
le ??? oirs comme un lasso pour envoyer l'appât le plus loin possible
dans la mer,avec un très gros hameçon, dans l'espoir de prendre un
loup ou un denti. Puis, tandis que l'appât s'enfonçait lentement dansles flots
l'eau pour aller reposer par dix ou quinze mètres de fond, je calais
solidement [d1]entre deux gros rochers le carré de liège qui servait de support
à la ligne <d1>,, et je regagnais l'hôtel pour aller dîner.
I. 342
De retour dans la chambre d'hôtel, je passais des heures allongé
sur le lit à barreaux qui occupait le centre de la pièce, parmi mon
matériel de pêche que j'avais réparti sur le parquet, mes cannes et mes
palangrottes soigneusement enroulées, mes plombs, mes sachets d'hameçons
de calibres divers, plus ou moins tranchants et effilés. Je ne pêchais
pratiquement pas pendant la journée, non, mais, à la tombée de la nuit,
je me rendais dans le port pour poser une ou deux lignes mortes, que
je lançais de l'extrémité de la jetée en faisant tournoyerla lignedans
le oirs comme un lasso pour envoyer l'appât le plus loin possible
dans la mer,avec un très gros hameçon, dans l'espoir de prendre un
loup ou un denti. Puis, tandis que l'appât s'enfonçait lentement dans
l'eau pour aller reposer par dix ou quinze mètres de fond, je calais
solidement entre deux gros rochers le carré de liège qui servait de support
à la ligne , et je regagnais l'hôtel pour aller dîner.