I. 344
De la fenêtre de ma chambre, je ne pouvais voir la maison des Biaggi,
qui se trouvait un peu en dehors du village
côté de lui au fond du lit comme un trésor de guerre, je me levais et
faisais quelques pas en chaussettes dans la chambre. J'allais jusqu'à
la fenêtre et, soulevant le rideau, je pouvais voir la route, une
parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux mauvaises
herbes, où, au loin, à côté de la maison des Biaggi, un âne solitaire
broutait du fenouil entre divers détritus, des vieilles planches, des
pneus abandonnés, une barque retournée qui porrissait sur place.
J'avais été surpris, en arrivant à Sasuelo, de constater que tous
les volets de la maison des Biaggi étaient fermés, et je sus un peu
plus tard, par le patron de l'hôtel, qu'une de leur tante était morte,
il me dit également m'apprenant de quoi de quoielle était morte et dans quelles circonstances affreuses,
l'âge qu'elle avait et qu'elle ne paraissait pas,??? -il, pas du tout on lui aurait donné
tout au plus soixante-trois ans (donc, elle avaitmoins plus, me dis-je)
plus tard, m'en ouvrant au patron de l'hôtel, qu'une des tante des
Biaggi était morte et qu'ils étaient rentrés à Paris pour quelques
jours. Le patron de l'hôtel paraissait très heureuxde que??? qui lui prêtait ainsi de me faire
ainsi la conversation,
Le patron de l'hôtel qui était un peu sourd en profita pour me faire
la conversation pendant un bon quart d'heure, me posant des questions
auxquelles dont il me faisait répéter les quelques réponses évasives
que je donnais de temps en temps. Oui, c'est possible, criais-je de
temps en temps (les sourds me fatiguent). Il
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De la fenêtre de ma chambre, je ne pouvais voir la maison des Biaggi,
qui se trouvait un peu en dehors du village
côté de lui au fond du lit comme un trésor de guerre, je me levais et
faisais quelques pas en chaussettes dans la chambre. J'allais jusqu'à
la fenêtre et, soulevant le rideau, je pouvais voir la route, une
parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux mauvaises
herbes, où, au loin, à côté de la maison des Biaggi, un âne solitaire
broutait du fenouil entre divers détritus, des vieilles planches, des
pneus abandonnés, une barque retournée qui porrissait sur place.
J'avais été surpris, en arrivant à Sasuelo, de constater que tous
les volets de la maison des Biaggi étaient fermés, et je sus un peu
plus tard, par le patron de l'hôtel, qu'une de leur tante était morte,
il me dit également de quoi et dans quelles circonstances affreuses,
l'âge qu'elle avait et qu'elle ne paraissait pas, on lui aurait donné
tout au plus soixante-trois ans (donc, elle avaitmoins , me dis-je)
plus tard, m'en ouvrant au patron de l'hôtel, qu'une des tante des
Biaggi était morte et qu'ils étaient rentrés à Paris pour quelques
jours. Le patron de l'hôtel paraissait très heureuxde me faire
ainsi la conversation
Le patron de l'hôtel qui était un peu sourd en profita pour me faire
la conversation pendant un bon quart d'heure, me posant des questions
auxquelles dont il me faisait répéter les quelques réponses évasives
que je donnais de temps en temps. Oui, c'est possible, criais-je de
temps en temps (les sourds me fatiguent). Il
I. 344
De la fenêtre de ma chambre, je ne pouvais voir la maison des Biaggi,
qui se trouvait un peu en dehors du village
côté de lui au fond du lit comme un trésor de guerre, je me levais et
faisais quelques pas en chaussettes dans la chambre. J'allais jusqu'à
la fenêtre et, soulevant le rideau, je pouvais voir la route, une
parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux mauvaises
herbes, où, au loin, à côté de la maison des Biaggi, un âne solitaire
broutait du fenouil entre divers détritus, des vieilles planches, des
pneus abandonnés, une barque retournée qui porrissait sur place.
J'avais été surpris, en arrivant à Sasuelo, de constater que tous
les volets de la maison des Biaggi étaient fermés, et je sus un peu
plus tard, par le patron de l'hôtel, qu'une de leur tante était morte,
il me dit également m'apprenant de quoi de quoielle était morte et dans quelles circonstances affreuses,
l'âge qu'elle avait et qu'elle ne paraissait pas,??? -il, pas du tout on lui aurait donné
tout au plus soixante-trois ans (donc, elle avaitmoins plus, me dis-je)
plus tard, m'en ouvrant au patron de l'hôtel, qu'une des tante des
Biaggi était morte et qu'ils étaient rentrés à Paris pour quelques
jours. Le patron de l'hôtel paraissait très heureuxde que??? qui lui prêtait ainsi de me faire
ainsi la conversation,
Le patron de l'hôtel qui était un peu sourd en profita pour me faire
la conversation pendant un bon quart d'heure, me posant des questions
auxquelles dont il me faisait répéter les quelques réponses évasives
que je donnais de temps en temps. Oui, c'est possible, criais-je de
temps en temps (les sourds me fatiguent). Il
I. 344
De la fenêtre de ma chambre, je ne pouvais voir la maison des Biaggi,
qui se trouvait un peu en dehors du village
côté de lui au fond du lit comme un trésor de guerre, je me levais et
faisais quelques pas en chaussettes dans la chambre. J'allais jusqu'à
la fenêtre et, soulevant le rideau, je pouvais voir la route, une
parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux mauvaises
herbes, où, au loin, à côté de la maison des Biaggi, un âne solitaire
broutait du fenouil entre divers détritus, des vieilles planches, des
pneus abandonnés, une barque retournée qui porrissait sur place.
J'avais été surpris, en arrivant à Sasuelo, de constater que tous
les volets de la maison des Biaggi étaient fermés, et je sus un peu
plus tard, par le patron de l'hôtel, qu'une de leur tante était morte,
il me dit également de quoi et dans quelles circonstances affreuses,
l'âge qu'elle avait et qu'elle ne paraissait pas, on lui aurait donné
tout au plus soixante-trois ans (donc, elle avaitmoins , me dis-je)
plus tard, m'en ouvrant au patron de l'hôtel, qu'une des tante des
Biaggi était morte et qu'ils étaient rentrés à Paris pour quelques
jours. Le patron de l'hôtel paraissait très heureuxde me faire
ainsi la conversation
Le patron de l'hôtel qui était un peu sourd en profita pour me faire
la conversation pendant un bon quart d'heure, me posant des questions
auxquelles dont il me faisait répéter les quelques réponses évasives
que je donnais de temps en temps. Oui, c'est possible, criais-je de
temps en temps (les sourds me fatiguent). Il