I. 355
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit dans
les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je me dirigeai en
silence vers la réception avant de remonter dans ma chambre. Les patrons de
l'hôtel ne dormaient pas encore, apparemment, car un rai de lumière allongée
s'étendait dans le couloir sous la porte de leur chambre. Tout était parfaitement
silencieux à la réception, et les contours du petit panneau des clefs se décou-
paient dans la pénombre derrière le vieux comptoir en bois sur lequel étaient
disposés un téléphone et une pile d'annuaires. Il faisait très sombre dans la
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit dans
les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je me dirigeai en
silence vers la réception avant de remonter dans ma chambre. Les patrons de
l'hôtel ne dormaient pas encore, apparemment, car un rai de lumière allongée
s'étendait dans le couloir sous la porte de leur chambre. Tout était parfaitement
silencieux à la réception, et les contours du petit panneau des clefs se décou-
paient dans la pénombre derrière le vieux comptoir en bois sur lequel étaient
disposés un téléphone et une pile d'annuaires. Il faisait très sombre dans la
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit dans
les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je me dirigeai en
silence vers la réception avant de remonter dans ma chambre. Les patrons de
l'hôtel ne dormaient pas encore, apparemment, car un rai de lumière allongée
s'étendait dans le couloir sous la porte de leur chambre. Tout était parfaitement
silencieux à la réception, et les contours du petit panneau des clefs se décou-
paient dans la pénombre derrière le vieux comptoir en bois sur lequel étaient
disposés un téléphone et une pile d'annuaires. Il faisait très sombre dans la
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit dans
les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je me dirigeai en
silence vers la réception avant de remonter dans ma chambre. Les patrons de
l'hôtel ne dormaient pas encore, apparemment, car un rai de lumière allongée
s'étendait dans le couloir sous la porte de leur chambre. Tout était parfaitement
silencieux à la réception, et les contours du petit panneau des clefs se décou-
paient dans la pénombre derrière le vieux comptoir en bois sur lequel étaient
disposés un téléphone et une pile d'annuaires. Il faisait très sombre dans la