I. 422
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. Il y avait des maisons de chaque
côté de moi, dont les dont la façades grises et silencieusesd'une maison abandonnée qui s'élevaient dans
l'obscurité.était garée au loin
Le port était désert,balayé violemment éclairée par intermittence par le long faiscau du
phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'éloignant balayant déjàsur au loin la surface de la mer à des
kilomètres de là. Le vent s'était levé, et il y avait des remous à la
surface de l'eau.
I. 422
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. Il y avait des maisons de chaque
côté de moi, dont les façades grises et silencieuses s'élevaient dans
l'obscurité.
Le port était désert,balayé par intermittence par le long faiscau du
phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'éloignant déjàsur la mer à des
kilomètres de là. Le vent s'était levé, et il y avait des remous à la
surface de l'eau.
I. 422
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. Il y avait des maisons de chaque
côté de moi, dont les dont la façades grises et silencieusesd'une maison abandonnée qui s'élevaient dans
l'obscurité.était garée au loin
Le port était désert,balayé violemment éclairée par intermittence par le long faiscau du
phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'éloignant balayant déjàsur au loin la surface de la mer à des
kilomètres de là. Le vent s'était levé, et il y avait des remous à la
surface de l'eau.
I. 422
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. Il y avait des maisons de chaque
côté de moi, dont les façades grises et silencieuses s'élevaient dans
l'obscurité.
Le port était désert,balayé par intermittence par le long faiscau du
phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'éloignant déjàsur la mer à des
kilomètres de là. Le vent s'était levé, et il y avait des remous à la
surface de l'eau.