II. 14
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. Rien ne bougeait devant moi, et je voyais la route qui
sinuait au loin dans la nuit jusqu'à la sortie du village. Quelques
longs nuages noirs, dans le ciel, glissaient lentement dans le halo de la
lune, et je respirais lentement l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre,
chargé d'embruns et de parfums de plante. Le port n'était pas visible
de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près, qui
s'accordait intimement au silence qui régnait alentour. Juste en face
de l'hôtel, dans l'enclos abandonné que baignait la faible lumière lunaire,
lâne que j'avaisane déjà aperçu quelques jours plus tôt se tenait dans
l'obscurité sur le sol pelé et caillouteux du terrain vague que la
lune éclairait faiblement, laissant çàe t là des ombres blanchâytes sur
le sol.
L'air étaittrès frais, chargé d'embruns et de parfums de plantes
Je respirais l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre
et l'airétait très frais et très purglacé, qui entrait dans mes bronches, chargé d'embruns et de parfums
de plantes.
II. 14
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. Rien ne bougeait devant moi, et je voyais la route qui
sinuait au loin dans la nuit jusqu'à la sortie du village. Quelques
longs nuages noirs, dans le ciel, glissaient lentement dans le halo de la
lune, et je respirais lentement l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre,
chargé d'embruns et de parfums de plante. Le port n'était pas visible
de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près, qui
s'accordait intimement au silence qui régnait alentour. Juste en face
de l'hôtel, dans l'enclos abandonné que baignait la faible lumière lunaire,
lâne que j'avaisane déjà aperçu quelques jours plus tôt se tenait dans
l'obscurité sur le sol pelé et caillouteux du terrain vague que la
lune éclairait faiblement, laissant çàe t là des ombres blanchâytes sur
le sol.
L'air étaittrès frais, chargé d'embruns et de parfums de plantes
et l'air frais entrait dans mes bronches, chargé d'embruns et de parfums
de plantes.
II. 14
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. Rien ne bougeait devant moi, et je voyais la route qui
sinuait au loin dans la nuit jusqu'à la sortie du village. Quelques
longs nuages noirs, dans le ciel, glissaient lentement dans le halo de la
lune, et je respirais lentement l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre,
chargé d'embruns et de parfums de plante. Le port n'était pas visible
de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près, qui
s'accordait intimement au silence qui régnait alentour. Juste en face
de l'hôtel, dans l'enclos abandonné que baignait la faible lumière lunaire,
lâne que j'avaisane déjà aperçu quelques jours plus tôt se tenait dans
l'obscurité sur le sol pelé et caillouteux du terrain vague que la
lune éclairait faiblement, laissant çàe t là des ombres blanchâytes sur
le sol.
L'air étaittrès frais, chargé d'embruns et de parfums de plantes
Je respirais l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre
et l'airétait très frais et très purglacé, qui entrait dans mes bronches, chargé d'embruns et de parfums
de plantes.
II. 14
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. Rien ne bougeait devant moi, et je voyais la route qui
sinuait au loin dans la nuit jusqu'à la sortie du village. Quelques
longs nuages noirs, dans le ciel, glissaient lentement dans le halo de la
lune, et je respirais lentement l'odeur fraîche de la nuit à la fenêtre,
chargé d'embruns et de parfums de plante. Le port n'était pas visible
de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près, qui
s'accordait intimement au silence qui régnait alentour. Juste en face
de l'hôtel, dans l'enclos abandonné que baignait la faible lumière lunaire,
lâne que j'avaisane déjà aperçu quelques jours plus tôt se tenait dans
l'obscurité sur le sol pelé et caillouteux du terrain vague que la
lune éclairait faiblement, laissant çàe t là des ombres blanchâytes sur
le sol.
L'air étaittrès frais, chargé d'embruns et de parfums de plantes
et l'air frais entrait dans mes bronches, chargé d'embruns et de parfums
de plantes.