II. 59
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner. J'étais tout seul dans la pièce,
et je terminais mon café en jetant de temps à autre unregard coup d'oeil sur l'écran.
Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel, et je me disais que Biaggi devait
certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, même
si je continuais de prendre des précautions pour éviter les parages de sa
maison chaque fois que je quittais l'hôtel,il se pouvait très bien qu'il il avait très bien pu m'apercevoir
m'eût aperçu dehors dans le village un soir que je me promenaisdans le village à la nuit dehors
tombée. Et je me représentaisoudain alorssoudain soudain qu'ilm'avait(même peut-êtremême aperçu avait même pu m'apercevoir
dans le port la nuit où le chat avait été assassiné, car c'était cette
nuit-là,selon toute vraisemblance, que je me trouvais sur la jetéeen à
train de guetter d'essayer de capturer un crabe. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que j'avais retiréesla nuit dernière la veille au soir la veille de la boîte aux lettres des Biaggi
et je les avais posées devant moisur une table basse pour les examiner
un instant. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
II. 59
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner. J'étais tout seul dans la pièce,
et je terminais mon café en jetant de temps à autre unregard sur l'écran.
Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel, et je me disais que Biaggi devait
certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, même
si je continuais de prendre des précautions pour éviter les parages de sa
maison chaque fois que je quittais l'hôtel,il se pouvait très bien qu'il
m'eût aperçu dehors un soir que je me promenaisdans le village à la nuit
tombée. Et je me représentaialors qu'ilm'avait(même peut-êtremême aperçu
dans le port la nuit où le chat avait été assassiné, car c'était cette
nuit-là,selon toute vraisemblance, que je me trouvais sur la jetéeen
train de guetter un crabe. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que j'avais retiréesla nuit dernière de la boîte aux lettres des Biaggi
et je les avais posées devant moisur une table basse pour les examiner
un instant. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
II. 59
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner. J'étais tout seul dans la pièce,
et je terminais mon café en jetant de temps à autre unregard coup d'oeil sur l'écran.
Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel, et je me disais que Biaggi devait
certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, même
si je continuais de prendre des précautions pour éviter les parages de sa
maison chaque fois que je quittais l'hôtel,il se pouvait très bien qu'il il avait très bien pu m'apercevoir
m'eût aperçu dehors dans le village un soir que je me promenaisdans le village à la nuit dehors
tombée. Et je me représentaisoudain alorssoudain soudain qu'ilm'avait(même peut-êtremême aperçu avait même pu m'apercevoir
dans le port la nuit où le chat avait été assassiné, car c'était cette
nuit-là,selon toute vraisemblance, que je me trouvais sur la jetéeen à
train de guetter d'essayer de capturer un crabe. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que j'avais retiréesla nuit dernière la veille au soir la veille de la boîte aux lettres des Biaggi
et je les avais posées devant moisur une table basse pour les examiner
un instant. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
II. 59
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner. J'étais tout seul dans la pièce,
et je terminais mon café en jetant de temps à autre unregard sur l'écran.
Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel, et je me disais que Biaggi devait
certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, même
si je continuais de prendre des précautions pour éviter les parages de sa
maison chaque fois que je quittais l'hôtel,il se pouvait très bien qu'il
m'eût aperçu dehors un soir que je me promenaisdans le village à la nuit
tombée. Et je me représentaialors qu'ilm'avait(même peut-êtremême aperçu
dans le port la nuit où le chat avait été assassiné, car c'était cette
nuit-là,selon toute vraisemblance, que je me trouvais sur la jetéeen
train de guetter un crabe. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que j'avais retiréesla nuit dernière de la boîte aux lettres des Biaggi
et je les avais posées devant moisur une table basse pour les examiner
un instant. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.