II. 105
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où quelques tables
en plastique blanc avaient été installées dehors et avaient pris la pluie,
quelques gouttes d'eau intactes s'attardant encore sur les chaises. Je
prenais l'apéritif en compagnie de mon fils qui se tenait sagement dans
sa poussette, le regard perdui vers le grand horizon et son biscuit
en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Une voiture
passait de temps à autre dans le village, lentement, qui traversait
la rue principale sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux aussi
loin qu'il pouvait en penchant la tête sur le côté.
Elles avaient pris la pluie, et j'avais dû essuyer les quelques gouttes
qui s'attardient encore sur la chaise aveavnt de m'assoir. Mon fils
se tenait sagmeent à côté de moi dans sa poussette, qui n'avait pas
fini son biscuit et legardait
II. 105
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où quelques tables
en plastique blanc avaient été installées dehors et avaient pris la pluie,
quelques gouttes d'eau intactes s'attardant encore sur les chaises. Je
prenais l'apéritif en compagnie de mon fils qui se tenait sagement dans
sa poussette, le regard perdui vers le grand horizon et son biscuit
en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Une voiture
passait de temps à autre dans le village, lentement, qui traversait
la rue principale sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux aussi
loin qu'il pouvait en penchant la tête sur le côté.
Elles avaient pris la pluie, et j'avais dû essuyer les quelques gouttes
qui s'attardient encore sur la chaise aveavnt de m'assoir. Mon fils
se tenait sagmeent à côté de moi dans sa poussette, qui n'avait pas
fini son biscuit et legardait
II. 105
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où quelques tables
en plastique blanc avaient été installées dehors et avaient pris la pluie,
quelques gouttes d'eau intactes s'attardant encore sur les chaises. Je
prenais l'apéritif en compagnie de mon fils qui se tenait sagement dans
sa poussette, le regard perdui vers le grand horizon et son biscuit
en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Une voiture
passait de temps à autre dans le village, lentement, qui traversait
la rue principale sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux aussi
loin qu'il pouvait en penchant la tête sur le côté.
Elles avaient pris la pluie, et j'avais dû essuyer les quelques gouttes
qui s'attardient encore sur la chaise aveavnt de m'assoir. Mon fils
se tenait sagmeent à côté de moi dans sa poussette, qui n'avait pas
fini son biscuit et legardait
II. 105
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où quelques tables
en plastique blanc avaient été installées dehors et avaient pris la pluie,
quelques gouttes d'eau intactes s'attardant encore sur les chaises. Je
prenais l'apéritif en compagnie de mon fils qui se tenait sagement dans
sa poussette, le regard perdui vers le grand horizon et son biscuit
en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Une voiture
passait de temps à autre dans le village, lentement, qui traversait
la rue principale sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux aussi
loin qu'il pouvait en penchant la tête sur le côté.
Elles avaient pris la pluie, et j'avais dû essuyer les quelques gouttes
qui s'attardient encore sur la chaise aveavnt de m'assoir. Mon fils
se tenait sagmeent à côté de moi dans sa poussette, qui n'avait pas
fini son biscuit et legardait