II. 112
ni par quelque coquetterie de principe que je ne souhaitais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Oui, c'est
comme la morphine, voyez, dt la caissière à la dame. N'exagérons rien,
dis-je (allez, au revoir, mesdames).
II. 112
ni par quelque coquetterie de principe que je ne souhaitais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Oui, c'est
comme la morphine, voyez, dt la caissière à la dame. N'exagérons rien,
dis-je (allez, au revoir, mesdames).
II. 112
ni par quelque coquetterie de principe que je ne souhaitais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Oui, c'est
comme la morphine, voyez, dt la caissière à la dame. N'exagérons rien,
dis-je (allez, au revoir, mesdames).
II. 112
ni par quelque coquetterie de principe que je ne souhaitais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Oui, c'est
comme la morphine, voyez, dt la caissière à la dame. N'exagérons rien,
dis-je (allez, au revoir, mesdames).