II. 129
Bon. J'expliquaicalmement à la dame que ce n'était ni par raideur d'esprit, ni
par principe, que kje ne voulais paslui qu'on lui donne donner de biscuità mon fils quand il
ne pleurait pas, mais tout simplement, parce que, sion je lui donnaits des
biscuits quand il ne pleurait pas, les biscuits ne feraient plus aucun
effet lorsqu'il pleurerait. C'est comme la morphine, lui dis-je, et
elle eut l'air très étonnée.
C'est comme la morphine, lui dis-je, et elle eut l'air étonnée. Je
me comprenais.
Au revoir, madame, lui dis-je, et elle eut l'ait très étonnée.
La morphine, dit-elle. La morphine, dis-je, et je la lui mimai dans le
creux de mon bras
et je lhi mimai une piquere dans le creux de mon bras.
N'exagérons rien, dit-elle.
C'est comme la morphine, dit-elle la caissière qui entendait la conversation. elle. N'exagérons, rien, dis-je. Allez,
au revoir, madame. , ??? . L'incident était clos. dis-je
madame,dis-je. La morphine, mortel.
II. 129
Bon. J'expliquai à la dame que ce n'était ni par raideur d'esprit, ni
par principe, que kje ne voulais paslui donner de biscuit quand il
ne pleurait pas, mais tout simplement, parce que, sion lui donnait des
biscuits quand il ne pleurait pas, les biscuits ne feraient plus aucun
effet lorsqu'il pleurerait. C'est comme la morphine, lui dis-je, et
elle eut l'air très étonnée.
C'est comme la morphine, lui dis-je, et elle eut l'air étonnée. Je
me comprenais.
Au revoir, madame, lui dis-je, et elle eut l'ait très étonnée.
La morphine, dit-elle. La morphine, dis-je, et je la lui mimai dans le
creux de mon bras
et je lhi mimai une piquere dans le creux de mon bras.
N'exagérons rien, dit-elle.
C'est comme la morphine, dit-elle . N'exagérons, rien, dis-je. Allez,
au revoir madame.
II. 129
Bon. J'expliquaicalmement à la dame que ce n'était ni par raideur d'esprit, ni
par principe, que kje ne voulais paslui qu'on lui donne donner de biscuità mon fils quand il
ne pleurait pas, mais tout simplement, parce que, sion je lui donnaits des
biscuits quand il ne pleurait pas, les biscuits ne feraient plus aucun
effet lorsqu'il pleurerait. C'est comme la morphine, lui dis-je, et
elle eut l'air très étonnée.
C'est comme la morphine, lui dis-je, et elle eut l'air étonnée. Je
me comprenais.
Au revoir, madame, lui dis-je, et elle eut l'ait très étonnée.
La morphine, dit-elle. La morphine, dis-je, et je la lui mimai dans le
creux de mon bras
et je lhi mimai une piquere dans le creux de mon bras.
N'exagérons rien, dit-elle.
C'est comme la morphine, dit-elle la caissière qui entendait la conversation. elle. N'exagérons, rien, dis-je. Allez,
au revoir, madame. , ??? . L'incident était clos. dis-je
madame,dis-je. La morphine, mortel.
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Bon. J'expliquai à la dame que ce n'était ni par raideur d'esprit, ni
par principe, que kje ne voulais paslui donner de biscuit quand il
ne pleurait pas, mais tout simplement, parce que, sion lui donnait des
biscuits quand il ne pleurait pas, les biscuits ne feraient plus aucun
effet lorsqu'il pleurerait. C'est comme la morphine, lui dis-je, et
elle eut l'air très étonnée.
C'est comme la morphine, lui dis-je, et elle eut l'air étonnée. Je
me comprenais.
Au revoir, madame, lui dis-je, et elle eut l'ait très étonnée.
La morphine, dit-elle. La morphine, dis-je, et je la lui mimai dans le
creux de mon bras
et je lhi mimai une piquere dans le creux de mon bras.
N'exagérons rien, dit-elle.
C'est comme la morphine, dit-elle . N'exagérons, rien, dis-je. Allez,
au revoir madame.