II. 159
nnnnn
Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures,
et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,
les jambes bien écartées surla banquette du le siège et les deux petits pieds
à la verticale que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Cela sentait un peu le
caca dans le taxi, d'ailleurs,qui Il n'avait pas dit un mot depuis le départ de l'hôtel etjetait de temps à autre un regard dans le rétroviseur. de temps à autre, jetait un brefre regard dans le rétroviseur. n'avaitpas cesséne cessant de nous observer avec méfiance dans le rétroviseur. et maisle chauffeuren faisait l'innocent, , qui portait des lunettes à verres teintés, qui
faisait l'innocent et conduisaiten faisant l'innocent, sans dire un mot depuis le départ de l'hôtel en ne cessant de ne disait pas un mot et jetait de
m'observer avec méfiance temps à autre un regard dans le rétroviseurderrière ses lunettes à verres
teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant le vieil
annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée
pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais
l'intention de faire quelques courses.
se contentant de m'observer discrètement dans le rétroviseur
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Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures,
et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,
les jambes bien écartées surla banquette du siège et les deux petits pieds
à la verticale que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Cela sentait un peu le
caca dans le taxi, d'ailleurs, et le chauffeur faisait l'innocent, qui
conduisait sans dire un mot depuis le départ de l'hôtel en ne cessant de
m'observer avec méfiance dans le rétroviseurderrière ses lunettes à verres
teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant le vieil
annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée
pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais
l'intention de faire quelques courses.
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Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures,
et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,
les jambes bien écartées surla banquette du le siège et les deux petits pieds
à la verticale que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Cela sentait un peu le
caca dans le taxi, d'ailleurs,qui Il n'avait pas dit un mot depuis le départ de l'hôtel etjetait de temps à autre un regard dans le rétroviseur. de temps à autre, jetait un brefre regard dans le rétroviseur. n'avaitpas cesséne cessant de nous observer avec méfiance dans le rétroviseur. et maisle chauffeuren faisait l'innocent, , qui portait des lunettes à verres teintés, qui
faisait l'innocent et conduisaiten faisant l'innocent, sans dire un mot depuis le départ de l'hôtel en ne cessant de ne disait pas un mot et jetait de
m'observer avec méfiance temps à autre un regard dans le rétroviseurderrière ses lunettes à verres
teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant le vieil
annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée
pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais
l'intention de faire quelques courses.
se contentant de m'observer discrètement dans le rétroviseur
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Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures,
et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,
les jambes bien écartées surla banquette du siège et les deux petits pieds
à la verticale que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Cela sentait un peu le
caca dans le taxi, d'ailleurs, et le chauffeur faisait l'innocent, qui
conduisait sans dire un mot depuis le départ de l'hôtel en ne cessant de
m'observer avec méfiance dans le rétroviseurderrière ses lunettes à verres
teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant le vieil
annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée
pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais
l'intention de faire quelques courses.