II, 263
                    J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants 
de
                    la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse 
et
                    déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. De
 longs
                    nuages noirs glissaient dans le ciel, et rien ne bougeait alentour. 
On ne
                    voyait pas le port 
                     
                        de ma fenêtre 
                     
                    , mais j'entendais le murmure de
                    
la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait
                    
autour de moi et m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
                    
Je respirais lentement l'odeur de la nuit, mêlée de parfum d'embruns
                    
ta ndis que je respirais lentement l'odeur de la nuit à la 
fenêtre.
                    Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et je devinais 
son visage
                    endormi à travers le carré de tissu finement ajouré de la 
paroi de son
                    petit lit pompidolien. Il dormait la bouche ouverte, immobile, 
le souffle
                    régulier, 
                
                    tandis que je respirais 
                    
                             
                                l'odeur de la nuit 
                        
                            à la fenêtre
                         
                    . Je respirais lentement 
des parfums d'embruns et 
 Je
                    respirais lentement 
                    
                        à la fenêtre
                    
                    , et l'air 
                    
                            
                                était
                            
                        
                            frais de la nuit
                        <#D1>,
                        pur, chargé d'embruns, 
                        
                            et d'essences
                        végétales
                        
                        qui
                    [D1]
                           [
                       
                       pénétrait dans mes bronches.
                       
                           ]
                       
                            , pur, chargé d'embruns et d'essences végétales, de parfums
                                    
                                            d'herbes et
                                         
                            de plantes
                        
Je respirais lentement à la fenêtre l'air pur chargé d'embruns
II, 263
                    J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants 
de
                    la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse 
et
                    déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. De
 longs
                    nuages noirs glissaient dans le ciel, et rien ne bougeait alentour. 
On ne
                    voyait pas le port 
                     
                        de ma fenêtre 
                     
                    , mais j'entendais le murmure de
                    
la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait
                    
autour de moi et m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
                    
Je respirais lentement l'odeur de la nuit, mêlée de parfum d'embruns
                    
ta ndis que je respirais lentement l'odeur de la nuit à la 
fenêtre.
                    Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et je devinais 
son visage
                    endormi à travers le carré de tissu finement ajouré de la 
paroi de son
                    petit lit pompidolien. Il dormait la bouche ouverte, immobile, 
le souffle
                    régulier, 
                
                    tandis que je respirais 
                    
                             
                                l'odeur de la nuit 
                         
                    . Je respirais lentement 
des parfums d'embruns et 
 Je
                    respirais lentement 
                    
                        à la fenêtre
                    
                    , et l'air 
                    
                            
                                était
                            
                        
                        pur, chargé d'embruns, 
                        
                            et d'essences
                        végétales
                        
                        qui
                    
                           [
                       
                       pénétrait dans mes bronches.
                       
                           ]
                       
                            , pur, chargé d'embruns et d'essences végétales, de parfums
                                    
                                            d'herbes et
                                         
                            de plantes
                        
Je respirais lentement à la fenêtre l'air pur chargé d'embruns
II, 263
                    J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants 
de
                    la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse 
et
                    déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. De
 longs
                    nuages noirs glissaient dans le ciel, et rien ne bougeait alentour. 
On ne
                    voyait pas le port 
                     
                        de ma fenêtre 
                     
                    , mais j'entendais le murmure de
                    
la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait
                    
autour de moi et m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
                    
Je respirais lentement l'odeur de la nuit, mêlée de parfum d'embruns
                    
ta ndis que je respirais lentement l'odeur de la nuit à la 
fenêtre.
                    Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et je devinais 
son visage
                    endormi à travers le carré de tissu finement ajouré de la 
paroi de son
                    petit lit pompidolien. Il dormait la bouche ouverte, immobile, 
le souffle
                    régulier, 
                
                    tandis que je respirais 
                    
                             
                                l'odeur de la nuit 
                        
                            à la fenêtre
                         
                    . Je respirais lentement 
des parfums d'embruns et 
 Je
                    respirais lentement 
                    
                        à la fenêtre
                    
                    , et l'air 
                    
                            
                                était
                            
                        
                            frais de la nuit
                        <#D1>,
                        pur, chargé d'embruns, 
                        
                            et d'essences
                        végétales
                        
                        qui
                    [D1]
                           [
                       
                       pénétrait dans mes bronches.
                       
                           ]
                       
                            , pur, chargé d'embruns et d'essences végétales, de parfums
                                    
                                            d'herbes et
                                         
                            de plantes
                        
Je respirais lentement à la fenêtre l'air pur chargé d'embruns
II, 263
                    J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants 
de
                    la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse 
et
                    déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. De
 longs
                    nuages noirs glissaient dans le ciel, et rien ne bougeait alentour. 
On ne
                    voyait pas le port 
                     
                        de ma fenêtre 
                     
                    , mais j'entendais le murmure de
                    
la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait
                    
autour de moi et m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
                    
Je respirais lentement l'odeur de la nuit, mêlée de parfum d'embruns
                    
ta ndis que je respirais lentement l'odeur de la nuit à la 
fenêtre.
                    Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et je devinais 
son visage
                    endormi à travers le carré de tissu finement ajouré de la 
paroi de son
                    petit lit pompidolien. Il dormait la bouche ouverte, immobile, 
le souffle
                    régulier, 
                
                    tandis que je respirais 
                    
                             
                                l'odeur de la nuit 
                         
                    . Je respirais lentement 
des parfums d'embruns et 
 Je
                    respirais lentement 
                    
                        à la fenêtre
                    
                    , et l'air 
                    
                            
                                était
                            
                        
                        pur, chargé d'embruns, 
                        
                            et d'essences
                        végétales
                        
                        qui
                    
                           [
                       
                       pénétrait dans mes bronches.
                       
                           ]
                       
                            , pur, chargé d'embruns et d'essences végétales, de parfums
                                    
                                            d'herbes et
                                         
                            de plantes
                        
Je respirais lentement à la fenêtre l'air pur chargé d'embruns
