V, 1, 51
Je longeai lentement
le couloir jusqu'à
la chambre.
Je
suivis
m'avançai
lentement
le couloir
dans le couloir,
jusqu'à
la porte
la porte
et, marquant un temps
d'arrêt
avant de pénétrer dans la pièce,
avant d'entrer dans la chambre, pièce
je poussai la porte
brusquement
jusqu'à la
porte
, porte de la chambre
et, lorsque je m'introduisi
dans la pièce,
était
entr
ouverte au fond du couloir.
Quelqu'un qui se tenait dans la chambre
et qui ne bougeait pas car
???
L'était-elle déjà quand j'étais arrivé
sur le palier
?
,
ou
quelqu'un
venait-il
de l'ouvrir.
J'étais à moins de quatre
mètres de la porte, et
je ne bougeais
pas.
Je
m'approchai
lentement
de la porte
, et
Le couloir était toujours aussi sombre
devant
et silencieux en face de
en face
moi, et
a
A
ucun bruit ne se faisait entendre
de la chambre, et lorsque je
derrière
la porte de cette
de la
chambre.
Je m'approchais
lentement de la
porte, et
lorsque je
???
,
???, je
devinai
Se pouvait-il
que ce fût là que
Biaggi
m’attendait ?
qu'il ait quelqu'un dans la chambre ?
Je m’avançai lentement
jusqu’à la porte
dans le couloir
dans l'obscurité du couloir,
dans le couloir
et, marquant un temps d’arrêt
devant la porte
avant
d’entrer
dans la chambre
, je m’introduisis dans la pièce et découvris la chambre à coucher
des Biaggi parfaitement
déserte
vide
dans l’obscurité.
Un des volets
Les rideaux étaient ouverts, et
de la fenêtre
les volets
n’était pas bien
fermé, et
qui laissait
un rayon de lune entrait dans la pièce par le
mince
???
entrebâillement.
qui était laissé
ouvert entre la fenêtre et le mur.
J'étais dans la chambre
et
J'entrai dans la chambre et je m'avançai vers le fenêtre
Je m'avançai jusqu'à la fenêtre
Je m’approchai de la fenêtre, et la pièce était tout
à
fait silencieuse autour de moi, qu
i
e
la
lumière de la lune
qui
baignait
dans
une douce
et calme
et paisible
pénombre blanche.
qui faisait ressortir
qui enveloppait
les
murs
meubles
et
les lattes
du parquet
.
d'une faible
lumière
pénombre
lunaire.
Le lit
n’avait pas été
n'était pas
défait, et il n’y
avait aucune trace de présence dans
la chambre, aucun vêtement qui traînait
sur les chaises, aucun journaux sur
les tables de nuit. Il n’y avait
personne à l’étage, et la maison des
Biaggi
*
était vide, apparemment.
qui
???
restait ouvert
demeurait
ouvert
qui était
???
d'un
???
V, 1, 51
était
ouverte au fond du couloir.
Le couloir était toujours aussi sombre
et silencieux en face de
moi, et
a
A
ucun bruit ne se faisait entendre
derrière
la porte de cette
de la
chambre.
Se pouvait-il
que ce fût là que
Biaggi
m’attendait ?
Je m’avançai lentement
jusqu’à la porte
dans le couloir
dans l'obscurité du couloir,
et, marquant un temps d’arrêt
avant
d’entrer
, je m’introduisis dans la pièce et découvris la chambre à coucher
des Biaggi parfaitement
déserte
dans l’obscurité.
Un des volets
n’était pas bien
fermé, et
un rayon de lune entrait dans la pièce par le
mince
entrebâillement.
Je m’approchai de la fenêtre, et la pièce était tout
à
fait silencieuse autour de moi, qu
i
baignait
dans
une douce
pénombre blanche.
Le lit
n’avait pas été
défait, et il n’y
avait aucune trace de présence dans
la chambre, aucun vêtement qui traînait
sur les chaises, aucun journaux sur
les tables de nuit. Il n’y avait
personne à l’étage, et la maison des
Biaggi
*
était vide, apparemment.
V, 1, 51
Je longeai lentement
le couloir jusqu'à
la chambre.
Je
suivis
m'avançai
lentement
le couloir
dans le couloir,
jusqu'à
la porte
la porte
et, marquant un temps
d'arrêt
avant de pénétrer dans la pièce,
avant d'entrer dans la chambre, pièce
je poussai la porte
brusquement
jusqu'à la
porte
, porte de la chambre
et, lorsque je m'introduisi
dans la pièce,
était
entr
ouverte au fond du couloir.
Quelqu'un qui se tenait dans la chambre
et qui ne bougeait pas car
???
L'était-elle déjà quand j'étais arrivé
sur le palier
?
,
ou
quelqu'un
venait-il
de l'ouvrir.
J'étais à moins de quatre
mètres de la porte, et
je ne bougeais
pas.
Je
m'approchai
lentement
de la porte
, et
Le couloir était toujours aussi sombre
devant
et silencieux en face de
en face
moi, et
a
A
ucun bruit ne se faisait entendre
de la chambre, et lorsque je
derrière
la porte de cette
de la
chambre.
Je m'approchais
lentement de la
porte, et
lorsque je
???
,
???, je
devinai
Se pouvait-il
que ce fût là que
Biaggi
m’attendait ?
qu'il ait quelqu'un dans la chambre ?
Je m’avançai lentement
jusqu’à la porte
dans le couloir
dans l'obscurité du couloir,
dans le couloir
et, marquant un temps d’arrêt
devant la porte
avant
d’entrer
dans la chambre
, je m’introduisis dans la pièce et découvris la chambre à coucher
des Biaggi parfaitement
déserte
vide
dans l’obscurité.
Un des volets
Les rideaux étaient ouverts, et
de la fenêtre
les volets
n’était pas bien
fermé, et
qui laissait
un rayon de lune entrait dans la pièce par le
mince
???
entrebâillement.
qui était laissé
ouvert entre la fenêtre et le mur.
J'étais dans la chambre
et
J'entrai dans la chambre et je m'avançai vers le fenêtre
Je m'avançai jusqu'à la fenêtre
Je m’approchai de la fenêtre, et la pièce était tout
à
fait silencieuse autour de moi, qu
i
e
la
lumière de la lune
qui
baignait
dans
une douce
et calme
et paisible
pénombre blanche.
qui faisait ressortir
qui enveloppait
les
murs
meubles
et
les lattes
du parquet
.
d'une faible
lumière
pénombre
lunaire.
Le lit
n’avait pas été
n'était pas
défait, et il n’y
avait aucune trace de présence dans
la chambre, aucun vêtement qui traînait
sur les chaises, aucun journaux sur
les tables de nuit. Il n’y avait
personne à l’étage, et la maison des
Biaggi
*
était vide, apparemment.
qui
???
restait ouvert
demeurait
ouvert
qui était
???
d'un
???
V, 1, 51
était
ouverte au fond du couloir.
Le couloir était toujours aussi sombre
et silencieux en face de
moi, et
a
A
ucun bruit ne se faisait entendre
derrière
la porte de cette
de la
chambre.
Se pouvait-il
que ce fût là que
Biaggi
m’attendait ?
Je m’avançai lentement
jusqu’à la porte
dans le couloir
dans l'obscurité du couloir,
et, marquant un temps d’arrêt
avant
d’entrer
, je m’introduisis dans la pièce et découvris la chambre à coucher
des Biaggi parfaitement
déserte
dans l’obscurité.
Un des volets
n’était pas bien
fermé, et
un rayon de lune entrait dans la pièce par le
mince
entrebâillement.
Je m’approchai de la fenêtre, et la pièce était tout
à
fait silencieuse autour de moi, qu
i
baignait
dans
une douce
pénombre blanche.
Le lit
n’avait pas été
défait, et il n’y
avait aucune trace de présence dans
la chambre, aucun vêtement qui traînait
sur les chaises, aucun journaux sur
les tables de nuit. Il n’y avait
personne à l’étage, et la maison des
Biaggi
*
était vide, apparemment.