I. 7
J'étais arrivé à Sasueolo à la fin du mois d'octobre. C'était déjà le
début de l'hiver, et la saison touristique touchait à sa fin. Un taxi m'
avait déposé un matin sur la place du village, avec mes valises et mes
sacs. Le chauffeur m'avait aidé à détacher la poussette de mon fils que
nous avions ficelée tant bien que mal sur la galerie de sla voiture, une
vieille Diesel dont il n'avait pas coupé le moteur et qui continuait de
ronronner à l'arrêt sur la place, puis il m'avait indiqué la direction
du seul hôtel du village, qui se trouvait non loin de là, en bordure deu
portla route. J'avais remis d'aplomb la poussette de mon fils tandis que le
taxi s'éloignait et, laissant mes valises à l'abandon à côté d'un banc,
j'avais pris la direction de l'hôtel, mon fils devant moi dans la poussette,
qui ne se préoccupait de rien,et jouait avecabsorbé qu'il était dans la contepmplation de son phoque en peluche, lequ'il
tournanit et le retournanit dans ses mains pour l'examiner à l'infini sous
toutes sles coutures. L'entrée de l'hôtel présentait un petit perron fleuri,
au haut duquel s'ouvrait une double porte vitrée, et je pris la poussette
à bout de bras pour montergravirles quelques marchesdu perron. J'avais à peine poussé la
porte de l'hôtel, la poussette devant moi, que je me trouvai en présence
d'un homme à genoux par terre, une serpillière à la main, à genoux par terre, qui se releva sans dire un mot etaccroupi par terre à côté d'un seau, une serpillière à la main qui leva les yeux???, sans dire un mot ne se releva pour pas tout de suite
et considéra ???avec méfiance,sur???la poussette que je tenais à bout de bras au dessus de
sa tête. Ne sachant trop où la poser la poussette tant le sol semblait propreet ???ment entretenu avec soin
et lavé de frais, je fis un petit pas de côtéla gardai dans les mainset lui demandai s'il serait
possible d'avoir une chambre pour la nuit, et, avant qu'il n'eut le temps
de répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tombapar terrerebondit sur la tête de l'homme avant de tomber par terre (je le savais,
je le savais).
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J'étais arrivé à Sasueolo à la fin du mois d'octobre. C'était déjà le
début de l'hiver, et la saison touristique touchait à sa fin. Un taxi m'
avait déposé un matin sur la place du village, avec mes valises et mes
sacs. Le chauffeur m'avait aidé à détacher la poussette de mon fils que
nous avions ficelée tant bien que mal sur la galerie de sa voiture, une
vieille Diesel dont il n'avait pas coupé le moteur et qui continuait de
ronronner à l'arrêt sur la place, puis il m'avait indiqué la direction
du seul hôtel du village, qui se trouvait non loin de là, en bordure de
la route. J'avais remis d'aplomb la poussette de mon fils tandis que le
taxi s'éloignait et, laissant mes valises à l'abandon à côté d'un banc,
j'avais pris la direction de l'hôtel, mon fils devant moi dans la poussette,
qui ne se préoccupait de rienet jouait avec son phoque en peluche, le
tournant et le retournant dans ses mains pour l'examiner à l'infini sous
toutes ses coutures. L'entrée de l'hôtel présentait un petit perron fleuri,
au haut duquel s'ouvrait une double porte vitrée, et je pris la poussette
à bout de bras pour monterles quelques marches. J'avais à peine poussé la
porte de l'hôtel, la poussette devant moi, que je me trouvai en présence
d'un homme à genoux par terre, une serpillière à la main, qui leva les yeux
avec méfiancesurla poussette que je tenais à bout de bras au dessus de
sa tête. Ne sachant trop où poser la poussette tant le sol semblait propre
et lavé de frais, je fis un petit pas de côtéet lui demandai s'il serait
possible d'avoir une chambre pour la nuit, et, avant qu'il n'eut le temps
de répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tombapar terre (je le savais,
je le savais).
I. 7
J'étais arrivé à Sasueolo à la fin du mois d'octobre. C'était déjà le
début de l'hiver, et la saison touristique touchait à sa fin. Un taxi m'
avait déposé un matin sur la place du village, avec mes valises et mes
sacs. Le chauffeur m'avait aidé à détacher la poussette de mon fils que
nous avions ficelée tant bien que mal sur la galerie de sla voiture, une
vieille Diesel dont il n'avait pas coupé le moteur et qui continuait de
ronronner à l'arrêt sur la place, puis il m'avait indiqué la direction
du seul hôtel du village, qui se trouvait non loin de là, en bordure deu
portla route. J'avais remis d'aplomb la poussette de mon fils tandis que le
taxi s'éloignait et, laissant mes valises à l'abandon à côté d'un banc,
j'avais pris la direction de l'hôtel, mon fils devant moi dans la poussette,
qui ne se préoccupait de rien,et jouait avecabsorbé qu'il était dans la contepmplation de son phoque en peluche, lequ'il
tournanit et le retournanit dans ses mains pour l'examiner à l'infini sous
toutes sles coutures. L'entrée de l'hôtel présentait un petit perron fleuri,
au haut duquel s'ouvrait une double porte vitrée, et je pris la poussette
à bout de bras pour montergravirles quelques marchesdu perron. J'avais à peine poussé la
porte de l'hôtel, la poussette devant moi, que je me trouvai en présence
d'un homme à genoux par terre, une serpillière à la main, à genoux par terre, qui se releva sans dire un mot etaccroupi par terre à côté d'un seau, une serpillière à la main qui leva les yeux???, sans dire un mot ne se releva pour pas tout de suite
et considéra ???avec méfiance,sur???la poussette que je tenais à bout de bras au dessus de
sa tête. Ne sachant trop où la poser la poussette tant le sol semblait propreet ???ment entretenu avec soin
et lavé de frais, je fis un petit pas de côtéla gardai dans les mainset lui demandai s'il serait
possible d'avoir une chambre pour la nuit, et, avant qu'il n'eut le temps
de répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tombapar terrerebondit sur la tête de l'homme avant de tomber par terre (je le savais,
je le savais).
I. 7
J'étais arrivé à Sasueolo à la fin du mois d'octobre. C'était déjà le
début de l'hiver, et la saison touristique touchait à sa fin. Un taxi m'
avait déposé un matin sur la place du village, avec mes valises et mes
sacs. Le chauffeur m'avait aidé à détacher la poussette de mon fils que
nous avions ficelée tant bien que mal sur la galerie de sa voiture, une
vieille Diesel dont il n'avait pas coupé le moteur et qui continuait de
ronronner à l'arrêt sur la place, puis il m'avait indiqué la direction
du seul hôtel du village, qui se trouvait non loin de là, en bordure de
la route. J'avais remis d'aplomb la poussette de mon fils tandis que le
taxi s'éloignait et, laissant mes valises à l'abandon à côté d'un banc,
j'avais pris la direction de l'hôtel, mon fils devant moi dans la poussette,
qui ne se préoccupait de rienet jouait avec son phoque en peluche, le
tournant et le retournant dans ses mains pour l'examiner à l'infini sous
toutes ses coutures. L'entrée de l'hôtel présentait un petit perron fleuri,
au haut duquel s'ouvrait une double porte vitrée, et je pris la poussette
à bout de bras pour monterles quelques marches. J'avais à peine poussé la
porte de l'hôtel, la poussette devant moi, que je me trouvai en présence
d'un homme à genoux par terre, une serpillière à la main, qui leva les yeux
avec méfiancesurla poussette que je tenais à bout de bras au dessus de
sa tête. Ne sachant trop où poser la poussette tant le sol semblait propre
et lavé de frais, je fis un petit pas de côtéet lui demandai s'il serait
possible d'avoir une chambre pour la nuit, et, avant qu'il n'eut le temps
de répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tombapar terre (je le savais,
je le savais).