Les 2755 feuillets tapuscrits, comportant une abondante annotation manuscrite, ont été numérisés par le Service interuniversitaire de Documentation de l’Université Grenoble Alpes où ils ont été conservés entre juillet 2015 et avril 2022, avant d’être restitués à leur auteur. Ils font l’objet d’une transcription sur la plateforme collaborative TACT (https://tact.demarre-shs.fr), opération indispensable pour leur donner une pleine lisibilité et permettre les analyses ou recherches automatiques sur le texte.
Au fur et à mesure de leur validation, les transcriptions, téléchargeables en TEI-XML, sont déposées sur le site du Projet Réticence. Il sera ainsi possible :
Chaque facsimilé et sa transcription portent le même numéro, dérivé de celui du feuillet original (boite/chemise/feuillet) avec des extensions différentes (.jpg ou .xml).
Chaque feuillet porte un numéro, en haut à droite, qui précise sa situation dans l’ensemble du fonds au moment où a été effectuée la numérisation (sans préjuger aucunement de sa place dans le processus d’écriture). Il comprend un chiffre romain, de I à VI, correspondant aux boites d’archives, et un chiffre arabe, de 1 à 600, précisant la position du feuillet dans la boite. Pour les boites 5 et 6, un chiffre arabe 1, 2 ou 3, entouré ou entre parenthèses et situé avant le numéro de feuillet, renvoie aux chemises cartonnées.
Chaque facsimilé et sa transcription portent le même numéro, dérivé de celui du feuillet original (boite/chemise/feuillet) avec des extensions différentes (.jpg ou .xml).
Exemple :
Le f° II, 334 correspond au facsimilé LRT_02_01_00334.jpg et à la transcription LRT_02_01_00334.xml
Le f° V (3) 89 correspond au facsimilé LRT_05_03_00089.jpg et à la transcription LRT_05_03_00089.xml
Il a été élaboré à partir d’XML-TEI avec des choix de balisage assez simples, qui pourront être enrichis ultérieurement.
La transcription reproduit à l’identique le texte tapuscrit, en respectant la mise en page (alinéas, retours à la ligne, sauts de ligne). Les erreurs éventuelles (orthographe, syntaxe, ponctuation, fautes de frappe) ne sont pas corrigées.
Les annotations manuscrites, très nombreuses, sont déchiffrées (dans la limite de la lisibilité) et transcrites, avec un code couleur et une police de caractère permettant de les distinguer du texte tapé. Leur situation dans la page n’est pas reproduite à l’identique ; la diversité des emplacements a été réduite à deux cas de figure :
Le balisage a été limité à trois fonctions essentielles :