I. 10
Jevoudrais une chambre, dis-je dis que je voulais une chambre et. Mon fils lâcha le phoque, qui tomba par
terre(je le savais, je le savais), et, tandis que l'homme, la serpillière à la main,qui ne s'était
toujours pas relevé, regardait alternativement le phoque et mon fils, avant
et, tandis que l'homme, toujours à genoux,et ne me quittant pas des yeux hésitait àle ramasser regarder le phoque, mon
fils se pencha brusquement hors de la poussette pour regarder le phoque, et tendait le bras tendu pour récupérer son jouet.
J'avais à peine poussé la porte de l'hôtel, la poussette devant moi,
que je me trouvai en présence d'un homme à genoux par terre, une ser-
pillière à la main, quiconsidéra leva les yeux pour avec méfiancesurla poussette que je
tenais à bout de bras au-dessus de sa tête. Je ne savais Ne sachant trop où poser la poussette tant le sol était mouillé d'eau savonneuse propre et ???de fraisJe fis un petit pas de Sans bouger, tenant ???la poussette à bout de bras,
côté enlui demandanit s'il serait possible dei je pouvais avoir une chambrepour la nuit et, avant qu'il
n'eut le temps dese relever répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tomba part
terre (je le savais, je le savais).
I. 10
Jevoudrais une chambre, dis-je . Mon fils lâcha le phoque, qui tomba par
terre, et, tandis que l'homme, la serpillière à la main,qui ne s'était
toujours pas relevé, regardait alternativement le phoque et mon fils, avant
et, tandis que l'homme, toujours à genoux,hésitait àle ramasser , mon
fils se pencha brusquement hors de la poussette pour regarder le phoque,
J'avais à peine poussé la porte de l'hôtel, la poussette devant moi,
que je me trouvai en présence d'un homme à genoux par terre, une ser-
pillière à la main, quiconsidéra avec méfiancela poussette que je
tenais à bout de bras au-dessus de sa tête. Je fis un petit pas de
côté enlui demandant si je pouvais avoir une chambreet, avant qu'il
n'eut le temps dese relever , mon fils lâcha le phoque, qui tomba part
terre (je le savais, je le savais).
I. 10
Jevoudrais une chambre, dis-je dis que je voulais une chambre et. Mon fils lâcha le phoque, qui tomba par
terre(je le savais, je le savais), et, tandis que l'homme, la serpillière à la main,qui ne s'était
toujours pas relevé, regardait alternativement le phoque et mon fils, avant
et, tandis que l'homme, toujours à genoux,et ne me quittant pas des yeux hésitait àle ramasser regarder le phoque, mon
fils se pencha brusquement hors de la poussette pour regarder le phoque, et tendait le bras tendu pour récupérer son jouet.
J'avais à peine poussé la porte de l'hôtel, la poussette devant moi,
que je me trouvai en présence d'un homme à genoux par terre, une ser-
pillière à la main, quiconsidéra leva les yeux pour avec méfiancesurla poussette que je
tenais à bout de bras au-dessus de sa tête. Je ne savais Ne sachant trop où poser la poussette tant le sol était mouillé d'eau savonneuse propre et ???de fraisJe fis un petit pas de Sans bouger, tenant ???la poussette à bout de bras,
côté enlui demandanit s'il serait possible dei je pouvais avoir une chambrepour la nuit et, avant qu'il
n'eut le temps dese relever répondre, mon fils lâcha le phoque, qui tomba part
terre (je le savais, je le savais).
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Jevoudrais une chambre, dis-je . Mon fils lâcha le phoque, qui tomba par
terre, et, tandis que l'homme, la serpillière à la main,qui ne s'était
toujours pas relevé, regardait alternativement le phoque et mon fils, avant
et, tandis que l'homme, toujours à genoux,hésitait àle ramasser , mon
fils se pencha brusquement hors de la poussette pour regarder le phoque,
J'avais à peine poussé la porte de l'hôtel, la poussette devant moi,
que je me trouvai en présence d'un homme à genoux par terre, une ser-
pillière à la main, quiconsidéra avec méfiancela poussette que je
tenais à bout de bras au-dessus de sa tête. Je fis un petit pas de
côté enlui demandant si je pouvais avoir une chambreet, avant qu'il
n'eut le temps dese relever , mon fils lâcha le phoque, qui tomba part
terre (je le savais, je le savais).