I. 19
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans ses
bras lui avait donnéait avec enthousiasme sur le visageet sur la tête. Il me le rendit
immédiatement, du reste, mon fils,comme s'il était???,avec mon passeport et ma carte de crédit,
s'empara d'une clef sur le tableau, me précéda dans les escaliers pour nouset me conduisitre au deuxième étage de l'hôtel dans un chambre sous lesassez grande
avec un grand lit et une table,combles qui comptait deuxfenêtrespetites fenêtres. L'une d'elle donnait
sur le port et l'autre, plus petitesur un morceau de route qui jouxtait un enclosabandonnée
laissé à l'abandon, avec un figiuier défiguréoù???et solitaire, comme désséché sur pieddéfigurédéfiguré et désséché,
ployanit sous le poids de ses branches mortes.Un âne, un peuPlus loin, parmi les mauvaises
herbes, un âne broutait du fenouilet quelques mauvaises herbes qu'il dénichaitentre divers détritus, des vieilles planches,
une barque de pêche pourrie, décomposéeait sur placepercée de part en part, qui se qui???sur place en pièces copeaux de bois vert.
I. 19
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans ses
bras lui avait donné avec enthousiasme sur le visage. Il me le rendit
immédiatement, du reste, mon fils,avec mon passeport et ma carte de crédit,
et me conduisit au deuxième étage de l'hôtel dans un chambre sous les
combles qui comptait deuxfenêtrespetites fenêtres. L'une d'elle donnait
sur le port et l'autresur un morceau de route qui jouxtait un enclos
laissé à l'abandon, avec un figiuier défiguré, comme désséché sur pied,
ployant sous le poids de ses branches mortes.Plus loin, parmi les mauvaises
herbes, un âne broutait du fenouilentre divers détritus, des vieilles planches,
une barque de pêche pourrie, décomposéeait sur place.
I. 19
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans ses
bras lui avait donnéait avec enthousiasme sur le visageet sur la tête. Il me le rendit
immédiatement, du reste, mon fils,comme s'il était???,avec mon passeport et ma carte de crédit,
s'empara d'une clef sur le tableau, me précéda dans les escaliers pour nouset me conduisitre au deuxième étage de l'hôtel dans un chambre sous lesassez grande
avec un grand lit et une table,combles qui comptait deuxfenêtrespetites fenêtres. L'une d'elle donnait
sur le port et l'autre, plus petitesur un morceau de route qui jouxtait un enclosabandonnée
laissé à l'abandon, avec un figiuier défiguréoù???et solitaire, comme désséché sur pieddéfigurédéfiguré et désséché,
ployanit sous le poids de ses branches mortes.Un âne, un peuPlus loin, parmi les mauvaises
herbes, un âne broutait du fenouilet quelques mauvaises herbes qu'il dénichaitentre divers détritus, des vieilles planches,
une barque de pêche pourrie, décomposéeait sur placepercée de part en part, qui se qui???sur place en pièces copeaux de bois vert.
I. 19
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutes, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la place, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans ses
bras lui avait donné avec enthousiasme sur le visage. Il me le rendit
immédiatement, du reste, mon fils,avec mon passeport et ma carte de crédit,
et me conduisit au deuxième étage de l'hôtel dans un chambre sous les
combles qui comptait deuxfenêtrespetites fenêtres. L'une d'elle donnait
sur le port et l'autresur un morceau de route qui jouxtait un enclos
laissé à l'abandon, avec un figiuier défiguré, comme désséché sur pied,
ployant sous le poids de ses branches mortes.Plus loin, parmi les mauvaises
herbes, un âne broutait du fenouilentre divers détritus, des vieilles planches,
une barque de pêche pourrie, décomposéeait sur place.