I. 39
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
et tantôt sur la plage, avec la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans
le sable. Le bruit des vagues et du vent nous accompagnait sur l'immense
plage déserte, et j'avançais lentement au bord de l'eau,la poussetteje poussais lentement la petite voiture ??? jusqu'à la???.
devant moi. Je m'arrêtais parfois, je m'asseyais dans le sable, et mon
fils, solidement maintenu dans sa poussette par une petite ceinture, essayit
de se faire basculer en avant, tendait avidement les bras en direction d
tous les objets abandonnés sur la plage.Je lançais??? assis en tailleur
à côté de la poussette, je lançais des un ou deux galets dans la mer,plouf, je???plouf à des intervalles très larges, plusieurs minutes parfois s'écoulaient avant que je n'a ne me décide à en???un autreles faisais
rebondir jusqu'à quatre foisparfois, mollement, une fois, deux fois???, ce qui n'est pas énorme énorme,je???mais jebon.
ne forçais pas, il m'était comme égal qu'il rebondisse une ou deux fois
de plus, ???poursuivre pour la joie que j'en tirais ??????.énorme énorme, je reconnais, mais je n'avais pas envie de me concentrer
davantage, je tendais des petits morceaux de bois morts à mon fils,
sculptés
I. 39
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
et tantôt sur la plage, avec la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans
le sable. Le bruit des vagues et du vent nous accompagnait sur l'immense
plage déserte, et j'avançais lentement au bord de l'eau,la poussette
devant moi. Je m'arrêtais parfois, je m'asseyais dans le sable, et mon
fils, solidement maintenu dans sa poussette par une petite ceinture, essayit
de se faire basculer en avant, tendait avidement les bras en direction d
tous les objets abandonnés sur la plage.Je lançais assis en tailleur
à côté de la poussette, je lançais des un ou deux galets dans la mer,les faisais
rebondir jusqu'à quatre fois, ce qui n'est pas énorme énorme,mais je
ne forçais pas, il m'était comme égal qu'il rebondisse une ou deux fois
de plus, pour la joie que j'en tirais .énorme énorme, je reconnais, mais je n'avais pas envie de me concentrer
davantage, je tendais des petits morceaux de bois morts à mon fils,
sculptés
I. 39
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
et tantôt sur la plage, avec la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans
le sable. Le bruit des vagues et du vent nous accompagnait sur l'immense
plage déserte, et j'avançais lentement au bord de l'eau,la poussetteje poussais lentement la petite voiture ??? jusqu'à la???.
devant moi. Je m'arrêtais parfois, je m'asseyais dans le sable, et mon
fils, solidement maintenu dans sa poussette par une petite ceinture, essayit
de se faire basculer en avant, tendait avidement les bras en direction d
tous les objets abandonnés sur la plage.Je lançais??? assis en tailleur
à côté de la poussette, je lançais des un ou deux galets dans la mer,plouf, je???plouf à des intervalles très larges, plusieurs minutes parfois s'écoulaient avant que je n'a ne me décide à en???un autreles faisais
rebondir jusqu'à quatre foisparfois, mollement, une fois, deux fois???, ce qui n'est pas énorme énorme,je???mais jebon.
ne forçais pas, il m'était comme égal qu'il rebondisse une ou deux fois
de plus, ???poursuivre pour la joie que j'en tirais ??????.énorme énorme, je reconnais, mais je n'avais pas envie de me concentrer
davantage, je tendais des petits morceaux de bois morts à mon fils,
sculptés
I. 39
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
et tantôt sur la plage, avec la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans
le sable. Le bruit des vagues et du vent nous accompagnait sur l'immense
plage déserte, et j'avançais lentement au bord de l'eau,la poussette
devant moi. Je m'arrêtais parfois, je m'asseyais dans le sable, et mon
fils, solidement maintenu dans sa poussette par une petite ceinture, essayit
de se faire basculer en avant, tendait avidement les bras en direction d
tous les objets abandonnés sur la plage.Je lançais assis en tailleur
à côté de la poussette, je lançais des un ou deux galets dans la mer,les faisais
rebondir jusqu'à quatre fois, ce qui n'est pas énorme énorme,mais je
ne forçais pas, il m'était comme égal qu'il rebondisse une ou deux fois
de plus, pour la joie que j'en tirais .énorme énorme, je reconnais, mais je n'avais pas envie de me concentrer
davantage, je tendais des petits morceaux de bois morts à mon fils,
sculptés