I. 97
De retour dans la chambre d'hôtel,je m'étendais je passais des heures allongé sur le lit à barreau
qui occupait le centre de la pièce, et je somnolais, je relisais des
vieux journaus que j'avais emmené avec moi . Les mursautour de moi étaient humides
et sales, tapissés d'un vieux tissu orange assorti aux fleurs sombres
du couvre-lit et des rideaux. J'avais installé le lit de mon fils
contre le mur, un petit lit de voyage d'à peine un mètre de hauteur qui
consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes et creux
qui s'emboîtaient les uns dans les autres, sorte de petit centre
Pompidou posé à même le solde la chambre dont l'armature servait de
support à une confortable enveloppe de toile dans laquelle j'avais
disposé des coussins. Mon fils dormait làdans une grenouillère
blanche, immobile sur le dos,dans une blanche grenouillère blanche, le souffle régulier, un petit bras
replié en bouclier sur la poitrine. Parfois, je me levais etme
penchais au-dessus de son lit pour le regarder dormir, faisais
quelques pas en chaussettesdans la pièce dans la chambre.
pour regarder mon fils, qui dormaitimmobile sur le dos, vêtu d'une grenouillère blanche, un petit
Son souffle était régulier, et je faisais quelques pas dans la pièce en chaussettes.
I. 97
De retour dans la chambre d'hôtel,je m'étendais sur le lit à barreau
qui occupait le centre de la pièce, et je somnolais, je relisais des
vieux journaus que j'avais emmené avec moi . Les murs étaient humides
et sales, tapissés d'un vieux tissu orange assorti aux fleurs sombres
du couvre-lit et des rideaux. J'avais installé le lit de mon fils
contre le mur, un petit lit de voyage d'à peine un mètre de hauteur qui
consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes et creux
qui s'emboîtaient les uns dans les autres, sorte de petit centre
Pompidou posé à même le solde la chambre dont l'armature servait de
support à une confortable enveloppe de toile dans laquelle j'avais
disposé des coussins. Mon fils dormait làdans une grenouillère
blanche, immobile sur le dos, le souffle régulier, un petit bras
replié en bouclier sur la poitrine. Parfois, je me levais etme
penchais au-dessus de son lit pour le regarder dormir, faisais
quelques pas en chaussettes dans la chambre.
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De retour dans la chambre d'hôtel,je m'étendais je passais des heures allongé sur le lit à barreau
qui occupait le centre de la pièce, et je somnolais, je relisais des
vieux journaus que j'avais emmené avec moi . Les mursautour de moi étaient humides
et sales, tapissés d'un vieux tissu orange assorti aux fleurs sombres
du couvre-lit et des rideaux. J'avais installé le lit de mon fils
contre le mur, un petit lit de voyage d'à peine un mètre de hauteur qui
consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes et creux
qui s'emboîtaient les uns dans les autres, sorte de petit centre
Pompidou posé à même le solde la chambre dont l'armature servait de
support à une confortable enveloppe de toile dans laquelle j'avais
disposé des coussins. Mon fils dormait làdans une grenouillère
blanche, immobile sur le dos,dans une blanche grenouillère blanche, le souffle régulier, un petit bras
replié en bouclier sur la poitrine. Parfois, je me levais etme
penchais au-dessus de son lit pour le regarder dormir, faisais
quelques pas en chaussettesdans la pièce dans la chambre.
pour regarder mon fils, qui dormaitimmobile sur le dos, vêtu d'une grenouillère blanche, un petit
Son souffle était régulier, et je faisais quelques pas dans la pièce en chaussettes.
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De retour dans la chambre d'hôtel,je m'étendais sur le lit à barreau
qui occupait le centre de la pièce, et je somnolais, je relisais des
vieux journaus que j'avais emmené avec moi . Les murs étaient humides
et sales, tapissés d'un vieux tissu orange assorti aux fleurs sombres
du couvre-lit et des rideaux. J'avais installé le lit de mon fils
contre le mur, un petit lit de voyage d'à peine un mètre de hauteur qui
consistait en un assemblage de tubes métalliques jaunes et creux
qui s'emboîtaient les uns dans les autres, sorte de petit centre
Pompidou posé à même le solde la chambre dont l'armature servait de
support à une confortable enveloppe de toile dans laquelle j'avais
disposé des coussins. Mon fils dormait làdans une grenouillère
blanche, immobile sur le dos, le souffle régulier, un petit bras
replié en bouclier sur la poitrine. Parfois, je me levais etme
penchais au-dessus de son lit pour le regarder dormir, faisais
quelques pas en chaussettes dans la chambre.