I. 124
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,je quittais l'hôtel
et me rendais dans le porttandis que mon fils dormait encore. Il faisait
à peine jour dehors, et la place du village endormie et déserte était
tout emplie d'une atmosphère de fin de nuit bleutéequi enveloppait les
maisons et les arbres, avec une lune d'aube très blancheet très bril-
lante dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières
que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.
I. 124
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
me rendais dans le porttandis que mon fils dormait encore. Il faisait
à peine jour dehors, et la place du village endormie et déserte était
tout emplie d'une atmosphère de fin de nuit bleutéequi enveloppait les
maisons et les arbres, avec une lune d'aube très blancheet très bril-
lante dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières
que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.
I. 124
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,je quittais l'hôtel
et me rendais dans le porttandis que mon fils dormait encore. Il faisait
à peine jour dehors, et la place du village endormie et déserte était
tout emplie d'une atmosphère de fin de nuit bleutéequi enveloppait les
maisons et les arbres, avec une lune d'aube très blancheet très bril-
lante dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières
que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.
I. 124
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
me rendais dans le porttandis que mon fils dormait encore. Il faisait
à peine jour dehors, et la place du village endormie et déserte était
tout emplie d'une atmosphère de fin de nuit bleutéequi enveloppait les
maisons et les arbres, avec une lune d'aube très blancheet très bril-
lante dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières
que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.