I. 126
C'est trois ou quatre jours après mon arrivée que j'avais découvert
là le chat mort. De loin, j'avais pris la forme noire qui flottait dans
les eaux du port pour quelque sac en plastique, une vieille couverture
peut-être, et, intrigué par cette masse noire immobile à la surface de
l'eau, je m'étais approché du bord de la jetée pour l'examiner de plus
près. De la manière dont le cadavre était pklacé, c'est à dire pratique-
ment dos à moi,les deux oreilles dressées hors de l'eau, je ne pouvais
apercevoir ni ses yeux ni sa bouche et ce n'est qu'un peu plus tard,
m'étant déplacé le long de la jetée, que je me rendis compte qu'hors
del s a gueuledu chat pendait une tête de poissondécomposée dont
dépassaitun quelques centimètres de fil de pêchecassé .Plus tard dans la journée, réflechissant à comment??? ,
à ce point précis, je ne voyais rien d'anormal aux circonstances
de la mort du chat, je ne parvenais pas à me l'expliquer clairement.
Car si je ne voyais rien d'anorma à la présence de la tête de poisson
ou qui,en??? si elle avait servi d'appât de ligne morte, avait très bien pu
glisser qu'elle se fût décrochée de l'hameçon pour glisser le long du fil,
Si, comme je le pensais, la tête de poissonavait<d1> servi d'appât de ligne
morte, il était tout à faitvraisemblable possible qu'elle se fût décrochée
[d1]à un moment ou à un autre de l'hameçon pour glisser long du fil.
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C'est trois ou quatre jours après mon arrivée que j'avais découvert
là le chat mort. De loin, j'avais pris la forme noire qui flottait dans
les eaux du port pour quelque sac en plastique, une vieille couverture
peut-être, et, intrigué par cette masse noire immobile à la surface de
l'eau, je m'étais approché du bord de la jetée pour l'examiner de plus
près. De la manière dont le cadavre était pklacé, c'est à dire pratique-
ment dos à moi,les deux oreilles dressées hors de l'eau, je ne pouvais
apercevoir ni ses yeux ni sa bouche et ce n'est qu'un peu plus tard,
m'étant déplacé le long de la jetée, que je me rendis compte qu'hors
del a gueuledu chat pendait une tête de poissondécomposée dont
dépassaitun fil de pêche .Plus tard dans la journée, réflechissant
à ce point précis, je ne voyais rien d'anormal aux circonstances
de la mort du chat, je ne parvenais pas à me l'expliquer clairement.
Car si je ne voyais rien d'anorma à la présence de la tête de poisson
qui, si elle avait servi d'appât de ligne morte, avait très bien pu
glisser de l'hameçon le long du fil,
Si, comme je le pensais, la tête de poissonavait servi d'appât de ligne
morte, il était tout à faitvraisemblable qu'elle se fût décrochée
à un moment ou à un autre de l'hameçon pour glisser long du fil.
I. 126
C'est trois ou quatre jours après mon arrivée que j'avais découvert
là le chat mort. De loin, j'avais pris la forme noire qui flottait dans
les eaux du port pour quelque sac en plastique, une vieille couverture
peut-être, et, intrigué par cette masse noire immobile à la surface de
l'eau, je m'étais approché du bord de la jetée pour l'examiner de plus
près. De la manière dont le cadavre était pklacé, c'est à dire pratique-
ment dos à moi,les deux oreilles dressées hors de l'eau, je ne pouvais
apercevoir ni ses yeux ni sa bouche et ce n'est qu'un peu plus tard,
m'étant déplacé le long de la jetée, que je me rendis compte qu'hors
del s a gueuledu chat pendait une tête de poissondécomposée dont
dépassaitun quelques centimètres de fil de pêchecassé .Plus tard dans la journée, réflechissant à comment??? ,
à ce point précis, je ne voyais rien d'anormal aux circonstances
de la mort du chat, je ne parvenais pas à me l'expliquer clairement.
Car si je ne voyais rien d'anorma à la présence de la tête de poisson
ou qui,en??? si elle avait servi d'appât de ligne morte, avait très bien pu
glisser qu'elle se fût décrochée de l'hameçon pour glisser le long du fil,
Si, comme je le pensais, la tête de poissonavait<d1> servi d'appât de ligne
morte, il était tout à faitvraisemblable possible qu'elle se fût décrochée
[d1]à un moment ou à un autre de l'hameçon pour glisser long du fil.
I. 126
C'est trois ou quatre jours après mon arrivée que j'avais découvert
là le chat mort. De loin, j'avais pris la forme noire qui flottait dans
les eaux du port pour quelque sac en plastique, une vieille couverture
peut-être, et, intrigué par cette masse noire immobile à la surface de
l'eau, je m'étais approché du bord de la jetée pour l'examiner de plus
près. De la manière dont le cadavre était pklacé, c'est à dire pratique-
ment dos à moi,les deux oreilles dressées hors de l'eau, je ne pouvais
apercevoir ni ses yeux ni sa bouche et ce n'est qu'un peu plus tard,
m'étant déplacé le long de la jetée, que je me rendis compte qu'hors
del a gueuledu chat pendait une tête de poissondécomposée dont
dépassaitun fil de pêche .Plus tard dans la journée, réflechissant
à ce point précis, je ne voyais rien d'anormal aux circonstances
de la mort du chat, je ne parvenais pas à me l'expliquer clairement.
Car si je ne voyais rien d'anorma à la présence de la tête de poisson
qui, si elle avait servi d'appât de ligne morte, avait très bien pu
glisser de l'hameçon le long du fil,
Si, comme je le pensais, la tête de poissonavait servi d'appât de ligne
morte, il était tout à faitvraisemblable qu'elle se fût décrochée
à un moment ou à un autre de l'hameçon pour glisser long du fil.