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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00183
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 183

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre d'hôtel étaientencore fermés, je m'habillai sans

bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le

plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait|à 

côté de moi, le souffle régulier, la petite bouche entrouverte (mon 

fils est un des types qui dort le plus que je connaisse) ??? .|  Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silencieux de l'hotel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas escaliers,

je butai sur la porte???   de l'hôtel qui était verrouillée pour la nuit et,

rebroussant chemin,passant devant la porte close de la chambre des 

patrons de l'hôtel, je m'introduisis dans la salle à manger encore

toute baignée d'obscurité. Le couvert était déjà dressé pour le peti-

déjeuner, les nappes blanches mises dans la pénombre, et, sur chaque table,

à côté des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était

disposé une petoite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre

et de mignottes de confiture.Je traversai ???  lLa salleà manger toute baignée d'obscurité était d'autant plus silencieuse que et me dirigeai vers

la grande baie vitréequi donnait sur la terrrasse, que je fis doucement glisser sur elle-même pour

sortir de l'hôtelpour me glissr à l'extérieur. Il faisait à peine jour dehorsdans le village, et l'atmosphère était

tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche

dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient des fils des poteaux télégraphiques. Sur la placedu village 

silencieuse et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que

j'avais aperçu la veille dansle jardin d  la propriété des Biaggi, qui

était garée devant la cabine téléphonique. Je m'approchai de la voiture

et, me penchant sur les vitres 

???                                                 Je longeais le??? et???  la pièce pour me 

Cuir rouge des sièges 

Du matériel de pêche sur la banquette arrière, une veste. 

Il avait un peu plu cette nuit --> flaques d'eau. 

I. 183

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, je m'habillai sans

bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le

plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormaità 

côté de moi, le souffle régulier, la petite bouche entrouverte (mon 

fils est un des types qui dort le plus que je connaisse) .  Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silencieux de l'hotel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas escaliers,

je butai sur la porte   de l'hôtel qui était verrouillée pour la nuit et,

rebroussant chemin,passant devant la porte close de la chambre des 

patrons de l'hôtel, je m'introduisis dans la salle à manger encore

toute baignée d'obscurité. Le couvert était déjà dressé pour le peti-

déjeuner, les nappes blanches mises dans la pénombre, et, sur chaque table,

à côté des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était

disposé une petoite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre

et de mignottes de confiture.Je traversai  la salle et me dirigeai vers

la grande baie vitrée, que je fis doucement glisser sur elle-même pour

sortir de l'hôtel. Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère était

tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche

dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient des fils des poteaux télégraphiques. Sur la placedu village 

silencieuse et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que

j'avais aperçu la veille dansle jardin d  la propriété des Biaggi, qui

était garée devant la cabine téléphonique. Je m'approchai de la voiture

et, me penchant sur les vitres 

                                                  

 

 

 

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I. 183

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre d'hôtel étaientencore fermés, je m'habillai sans

bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le

plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait|à 

côté de moi, le souffle régulier, la petite bouche entrouverte (mon 

fils est un des types qui dort le plus que je connaisse) ??? .|  Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silencieux de l'hotel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas escaliers,

je butai sur la porte???   de l'hôtel qui était verrouillée pour la nuit et,

rebroussant chemin,passant devant la porte close de la chambre des 

patrons de l'hôtel, je m'introduisis dans la salle à manger encore

toute baignée d'obscurité. Le couvert était déjà dressé pour le peti-

déjeuner, les nappes blanches mises dans la pénombre, et, sur chaque table,

à côté des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était

disposé une petoite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre

et de mignottes de confiture.Je traversai ???  lLa salleà manger toute baignée d'obscurité était d'autant plus silencieuse que et me dirigeai vers

la grande baie vitréequi donnait sur la terrrasse, que je fis doucement glisser sur elle-même pour

sortir de l'hôtelpour me glissr à l'extérieur. Il faisait à peine jour dehorsdans le village, et l'atmosphère était

tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche

dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient des fils des poteaux télégraphiques. Sur la placedu village 

silencieuse et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que

j'avais aperçu la veille dansle jardin d  la propriété des Biaggi, qui

était garée devant la cabine téléphonique. Je m'approchai de la voiture

et, me penchant sur les vitres 

???                                                 Je longeais le??? et???  la pièce pour me 

Cuir rouge des sièges 

Du matériel de pêche sur la banquette arrière, une veste. 

Il avait un peu plu cette nuit --> flaques d'eau. 

I. 183

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre d'hôtel étaient fermés, je m'habillai sans

bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le

plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormaità 

côté de moi, le souffle régulier, la petite bouche entrouverte (mon 

fils est un des types qui dort le plus que je connaisse) .  Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silencieux de l'hotel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas escaliers,

je butai sur la porte   de l'hôtel qui était verrouillée pour la nuit et,

rebroussant chemin,passant devant la porte close de la chambre des 

patrons de l'hôtel, je m'introduisis dans la salle à manger encore

toute baignée d'obscurité. Le couvert était déjà dressé pour le peti-

déjeuner, les nappes blanches mises dans la pénombre, et, sur chaque table,

à côté des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était

disposé une petoite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre

et de mignottes de confiture.Je traversai  la salle et me dirigeai vers

la grande baie vitrée, que je fis doucement glisser sur elle-même pour

sortir de l'hôtel. Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère était

tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche

dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient des fils des poteaux télégraphiques. Sur la placedu village 

silencieuse et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que

j'avais aperçu la veille dansle jardin d  la propriété des Biaggi, qui

était garée devant la cabine téléphonique. Je m'approchai de la voiture

et, me penchant sur les vitres 

                                                  

 

 

 

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