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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00196
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I. 196

 La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le 

vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai

sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombrede ma chambre , prenant un par un mes

vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais 

où régnait une pénombre 

I. 196

 La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le 

vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai

sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombre , prenant un par un mes

vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais 

où régnait une pénombre 

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I. 196

 La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le 

vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai

sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombrede ma chambre , prenant un par un mes

vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais 

où régnait une pénombre 

I. 196

 La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin,tandis que le 

vent s'était levé et faisait battre les volets de ma chambre, je me relevai

sans bruit et m'habillai lentement dans la pénombre , prenant un par un mes

vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesqueles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais 

où régnait une pénombre 

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