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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00216
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 216

 Je remis le registre en place, et voulus quitter l'hôtel, mais je

me heurtai à la porte principale qui était verrouillée pour la nuit. Je

fis demi-tour, repassant devant la porte closela chambredes patrons de l'hôtel, et,

cherchant à sortir par quelque porte dérobée, je pénétrai sans bruit

dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité. Le couvert

était déjà dressé pour le petit-déjeuner, les nappes ???   mises dans la pénombre,

et sur chaque table, à côté des tasses en porcelaine retournées dans les

soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échan-

tillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je traversai la pièce

parfaitement silencieuse et me dirigeai vers la grande baie vitrée qui

donnait sur la terrasse, que je fis doucementglisser coulisser sur elle-même  pour

m'insinuer dehors me glisser dehors. Il faisait à peine jour dans le villagequand je quittais l'hôtel, et l'atmosphère

était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très

blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient les fils des poteaux télégraphique. Sur la plaged  silencieuse

et déserteoù je???  après???  quelques??? ???   les ruelles pour, je remarquai tout de suite la Mercedes que j'avais aperçu

la veille dans le jardin des Biaggi, qui état <d1>garée [d1]maintenant devant là 

la cabine téléphonique  à proximitéd'un banc de la fontaine. Je m'approchai de la voiture

et,me penchant sur les vitres,  examinai un instant l'intérieur,les en me penchant au dehors des vitres. 

sièges en cuir rouge légèrement passé par endroit. Sur la banquette

arrière, à côté d'une veste à peu près pliée

I. 216

 Je remis le registre en place, et voulus quitter l'hôtel, mais je

me heurtai à la porte principale qui était verrouillée pour la nuit. Je

fis demi-tour, repassant devant la porte closedes patrons de l'hôtel, et,

cherchant à sortir par quelque porte dérobée, je pénétrai sans bruit

dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité. Le couvert

était déjà dressé pour le petit-déjeuner, les nappes   mises dans la pénombre,

et sur chaque table, à côté des tasses en porcelaine retournées dans les

soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échan-

tillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je traversai la pièce

parfaitement silencieuse et me dirigeai vers la grande baie vitrée qui

donnait sur la terrasse, que je fis doucementglisser  sur elle-même  pour

m'insinuer dehors . Il faisait à peine jour dans le village, et l'atmosphère

était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très

blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient les fils des poteaux télégraphique. Sur la plaged  silencieuse

et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que j'avais aperçu

la veille dans le jardin des Biaggi, qui état garée maintenant devant  

la cabine téléphonique  à proximitéd'un banc . Je m'approchai de la voiture

et,me penchant sur les vitres,  examinai un instant l'intérieur,les  

sièges en cuir rouge légèrement passé par endroit. Sur la banquette

arrière, à côté d'une veste à peu près pliée

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  • Tapuscrit corrigé
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I. 216

 Je remis le registre en place, et voulus quitter l'hôtel, mais je

me heurtai à la porte principale qui était verrouillée pour la nuit. Je

fis demi-tour, repassant devant la porte closela chambredes patrons de l'hôtel, et,

cherchant à sortir par quelque porte dérobée, je pénétrai sans bruit

dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité. Le couvert

était déjà dressé pour le petit-déjeuner, les nappes ???   mises dans la pénombre,

et sur chaque table, à côté des tasses en porcelaine retournées dans les

soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échan-

tillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je traversai la pièce

parfaitement silencieuse et me dirigeai vers la grande baie vitrée qui

donnait sur la terrasse, que je fis doucementglisser coulisser sur elle-même  pour

m'insinuer dehors me glisser dehors. Il faisait à peine jour dans le villagequand je quittais l'hôtel, et l'atmosphère

était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très

blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient les fils des poteaux télégraphique. Sur la plaged  silencieuse

et déserteoù je???  après???  quelques??? ???   les ruelles pour, je remarquai tout de suite la Mercedes que j'avais aperçu

la veille dans le jardin des Biaggi, qui état <d1>garée [d1]maintenant devant là 

la cabine téléphonique  à proximitéd'un banc de la fontaine. Je m'approchai de la voiture

et,me penchant sur les vitres,  examinai un instant l'intérieur,les en me penchant au dehors des vitres. 

sièges en cuir rouge légèrement passé par endroit. Sur la banquette

arrière, à côté d'une veste à peu près pliée

I. 216

 Je remis le registre en place, et voulus quitter l'hôtel, mais je

me heurtai à la porte principale qui était verrouillée pour la nuit. Je

fis demi-tour, repassant devant la porte closedes patrons de l'hôtel, et,

cherchant à sortir par quelque porte dérobée, je pénétrai sans bruit

dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité. Le couvert

était déjà dressé pour le petit-déjeuner, les nappes   mises dans la pénombre,

et sur chaque table, à côté des tasses en porcelaine retournées dans les

soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échan-

tillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je traversai la pièce

parfaitement silencieuse et me dirigeai vers la grande baie vitrée qui

donnait sur la terrasse, que je fis doucementglisser  sur elle-même  pour

m'insinuer dehors . Il faisait à peine jour dans le village, et l'atmosphère

était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très

blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus des lignes régulières que

traçaient les fils des poteaux télégraphique. Sur la plaged  silencieuse

et déserte, je remarquai tout de suite la Mercedes que j'avais aperçu

la veille dans le jardin des Biaggi, qui état garée maintenant devant  

la cabine téléphonique  à proximitéd'un banc . Je m'approchai de la voiture

et,me penchant sur les vitres,  examinai un instant l'intérieur,les  

sièges en cuir rouge légèrement passé par endroit. Sur la banquette

arrière, à côté d'une veste à peu près pliée

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