I. 223
Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus
que la porte princiale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je passai
sans bruitdevant par la réception, remarquant au passage que la porte de la chambre des patronsde l'hôtel sous laquelle je de l'hôtel ??? ,
remarquai qu'il??? de la lumière etje m'introduisis dans la
salle à mangerde l'hôtel de l'hôtel, qui était toute baignéed'une clarté lunaire petite lumière de la lune qui était dans la pénombre
qui enveloppait les tables et les chaises d'une clarté lunaire quidonnait sur la pièce et laissaitsur le sol une mare blanche
et allongéesur le sol declarté lumière, tandis que derrière les vitres de la grande baie
vitréequi donnait sur la terrasse, quelques tamaris très sombres se des-
sinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner était déjà dressé
dans lasalle à manger pièce , les nappes mises dansl'obscurité la pénombre veloutée de la lumièrede la lune lunaire velouté de la silencieuse veloutée de la pièce que venait soutenir la lumière de la lune
lumière de la lune qui entrait dans la pièce, et, sur chaque table, à
côté du profil découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes,
était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de
beurre et de mignonettes de confiture.<d1> Seulesressortaientles lumières bleutées
d'un aquariumressortaient encastré dans le mur [d1]dans la pénombre de la pièce, où quelques
poissons de roches évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs
escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai la
pièce salle à manger et me dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse
déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre
un muret de pierres, avant de faire doucement coulisser la paro de
la baie vitrée sur elle-même pour me glisser dehors
I. 223
Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus
que la porte princiale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je passai
sans bruitdevant la porte de la chambre des patrons sous laquelle je
remarquai qu'il de la lumière et m'introduisis dans la
salle à mangerde l'hôtel , qui était toute baignéed'une clarté lunaire
qui enveloppait les tables et les chaises et laissait une mare blanche
et allongéesur le sol , tandis que derrière les vitres de la grande baie
vitréequi donnait sur la terrasse, quelques tamaris très sombres se des-
sinaient dans l'ombre. Le couvert du petit-déjeuner était déjà dressé
dans lasalle à manger , les nappes mises dansl'obscurité velouté de la
lumière de la lune qui entrait dans la pièce, et, sur chaque table, à
côté du profil découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes,
était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de
beurre et de mignonettes de confiture. Seulesles lumières bleutées
d'un aquariumressortaient dans la pénombre de la pièce, où quelques
poissons de roches évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs
escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai la
pièce et me dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse
déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre
un muret de pierres, avant de faire doucement coulisser la paro de
la baie vitrée sur elle-même pour me glisser dehors
I. 223
Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus
que la porte princiale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je passai
sans bruitdevant par la réception, remarquant au passage que la porte de la chambre des patronsde l'hôtel sous laquelle je de l'hôtel ??? ,
remarquai qu'il??? de la lumière etje m'introduisis dans la
salle à mangerde l'hôtel de l'hôtel, qui était toute baignéed'une clarté lunaire petite lumière de la lune qui était dans la pénombre
qui enveloppait les tables et les chaises d'une clarté lunaire quidonnait sur la pièce et laissaitsur le sol une mare blanche
et allongéesur le sol declarté lumière, tandis que derrière les vitres de la grande baie
vitréequi donnait sur la terrasse, quelques tamaris très sombres se des-
sinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner était déjà dressé
dans lasalle à manger pièce , les nappes mises dansl'obscurité la pénombre veloutée de la lumièrede la lune lunaire velouté de la silencieuse veloutée de la pièce que venait soutenir la lumière de la lune
lumière de la lune qui entrait dans la pièce, et, sur chaque table, à
côté du profil découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes,
était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de
beurre et de mignonettes de confiture.<d1> Seulesressortaientles lumières bleutées
d'un aquariumressortaient encastré dans le mur [d1]dans la pénombre de la pièce, où quelques
poissons de roches évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs
escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai la
pièce salle à manger et me dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse
déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre
un muret de pierres, avant de faire doucement coulisser la paro de
la baie vitrée sur elle-même pour me glisser dehors
I. 223
Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus
que la porte princiale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je passai
sans bruitdevant la porte de la chambre des patrons sous laquelle je
remarquai qu'il de la lumière et m'introduisis dans la
salle à mangerde l'hôtel , qui était toute baignéed'une clarté lunaire
qui enveloppait les tables et les chaises et laissait une mare blanche
et allongéesur le sol , tandis que derrière les vitres de la grande baie
vitréequi donnait sur la terrasse, quelques tamaris très sombres se des-
sinaient dans l'ombre. Le couvert du petit-déjeuner était déjà dressé
dans lasalle à manger , les nappes mises dansl'obscurité velouté de la
lumière de la lune qui entrait dans la pièce, et, sur chaque table, à
côté du profil découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes,
était disposée une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de
beurre et de mignonettes de confiture. Seulesles lumières bleutées
d'un aquariumressortaient dans la pénombre de la pièce, où quelques
poissons de roches évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs
escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai la
pièce et me dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse
déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre
un muret de pierres, avant de faire doucement coulisser la paro de
la baie vitrée sur elle-même pour me glisser dehors