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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00288
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 288

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, je descendis

à la réception de l'hôtel. La pièce était sombre et silencieuse, les

murs recouvertsdu même tissu visibli que un vieux tissu fatigué identique à  celui qui servait dans les

chambre, orange et côtelé, réparti par bandes verticales plus ou moins

assemblée. Un petit canapéfatigué noir, presque affaissé, était disposé

contre le mur à côté de la porte de la chambre des patrons de l'hôtel

sur laquelle avait été fixée une petite pancarte qui indiquait le

caractère privé des lieux. Il n'y avait pas un bruit dans l'hôtel,

et quelques tableaux accrochés aux mursde la réception, çà et là, se découpaient dans

l'obscurité. Le contournai sans bruitdle vieux comptoiren bois de en bois 

la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que

je trouvai sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux,

que je feuilletai un instantdebout, avant deme rendre aux le poser sur le comptoir pour examiner plus attentivement les  dernières pages.

Comme je le pensais, car je me souvenais très bienqu'en arrivant à que lorsque j'étais arrivé 

l'hôtel,le patron m'avait ???  ???  demandé mon passeport, mais l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été

enregistré et aucune trace de ma présence à Sasuelo n'existait

en conséquence.

--- Comme si aucune trace n'existait de ma présence à Sasuelo. 

 Je remis le registre en place, pensif, et voulussortir de quitter l'hôtel,

maisjeme heurtai à la porte principale qui avait été verrouillée pour

la nuit. Dans la salle à manger,  où jem'étais  m'introduisis  en vue de chercherquelque 

une  porte dérobée pour sortir,

I. 288

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, je descendis

à la réception de l'hôtel. La pièce était sombre et silencieuse, les

murs recouvertsdu même tissu visibli que   celui qui servait dans les

chambre, orange et côtelé, réparti par bandes verticales plus ou moins

assemblée. Un petit canapéfatigué , presque affaissé, était disposé

contre le mur à côté de la porte de la chambre des patrons de l'hôtel

sur laquelle avait été fixée une petite pancarte qui indiquait le

caractère privé des lieux. Il n'y avait pas un bruit dans l'hôtel,

et quelques tableaux accrochés aux murs, çà et là, se découpaient dans

l'obscurité. Le contournai sans bruitdle vieux comptoiren bois de  

la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que

je trouvai sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux,

que je feuilletai un instant avant deme rendre aux   dernières pages.

Comme je le pensais, car je me souvenais très bienqu'en arrivant à  

l'hôtelle patron m'avait   demandé mon passeport, mais l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été

enregistré et aucune trace de ma présence à Sasuelo n'existait

en conséquence.

 

 Je remis le registre en place, pensif, et voulussortir de  l'hôtel,

maisme heurtai à la porte principale qui avait été verrouillée pour

la nuit. Dans la salle à manger,  où je  m'introduisis  en vue de chercher 

une  porte dérobée pour sortir,

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I. 288

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, je descendis

à la réception de l'hôtel. La pièce était sombre et silencieuse, les

murs recouvertsdu même tissu visibli que un vieux tissu fatigué identique à  celui qui servait dans les

chambre, orange et côtelé, réparti par bandes verticales plus ou moins

assemblée. Un petit canapéfatigué noir, presque affaissé, était disposé

contre le mur à côté de la porte de la chambre des patrons de l'hôtel

sur laquelle avait été fixée une petite pancarte qui indiquait le

caractère privé des lieux. Il n'y avait pas un bruit dans l'hôtel,

et quelques tableaux accrochés aux mursde la réception, çà et là, se découpaient dans

l'obscurité. Le contournai sans bruitdle vieux comptoiren bois de en bois 

la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que

je trouvai sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux,

que je feuilletai un instantdebout, avant deme rendre aux le poser sur le comptoir pour examiner plus attentivement les  dernières pages.

Comme je le pensais, car je me souvenais très bienqu'en arrivant à que lorsque j'étais arrivé 

l'hôtel,le patron m'avait ???  ???  demandé mon passeport, mais l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été

enregistré et aucune trace de ma présence à Sasuelo n'existait

en conséquence.

--- Comme si aucune trace n'existait de ma présence à Sasuelo. 

 Je remis le registre en place, pensif, et voulussortir de quitter l'hôtel,

maisjeme heurtai à la porte principale qui avait été verrouillée pour

la nuit. Dans la salle à manger,  où jem'étais  m'introduisis  en vue de chercherquelque 

une  porte dérobée pour sortir,

I. 288

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, je descendis

à la réception de l'hôtel. La pièce était sombre et silencieuse, les

murs recouvertsdu même tissu visibli que   celui qui servait dans les

chambre, orange et côtelé, réparti par bandes verticales plus ou moins

assemblée. Un petit canapéfatigué , presque affaissé, était disposé

contre le mur à côté de la porte de la chambre des patrons de l'hôtel

sur laquelle avait été fixée une petite pancarte qui indiquait le

caractère privé des lieux. Il n'y avait pas un bruit dans l'hôtel,

et quelques tableaux accrochés aux murs, çà et là, se découpaient dans

l'obscurité. Le contournai sans bruitdle vieux comptoiren bois de  

la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que

je trouvai sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux,

que je feuilletai un instant avant deme rendre aux   dernières pages.

Comme je le pensais, car je me souvenais très bienqu'en arrivant à  

l'hôtelle patron m'avait   demandé mon passeport, mais l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite, mon nom n'avait pas été

enregistré et aucune trace de ma présence à Sasuelo n'existait

en conséquence.

 

 Je remis le registre en place, pensif, et voulussortir de  l'hôtel,

maisme heurtai à la porte principale qui avait été verrouillée pour

la nuit. Dans la salle à manger,  où je  m'introduisis  en vue de chercher 

une  porte dérobée pour sortir,

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