I. 323
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause
des Biaggi que je me trouvais ici. allongé sur ce lit, immobile et
rêveur, à regarder le plafond. Car c'était pour voir les Biaggi que
je m'étais rendu à Sasuelo., pour cette unique raison, même si Dans le même temps, je savais très bien
que voir les Biaggi m'attristerait, et,que j'avais??? à ne pas venir les voir à Sasuelo. que mon intérêt eût été de ne jamais venir les voir à Sasuelo, avec mon fils de surcroît. qu'y renoncer pour toujours eût été préférable le jour de mon arrivée, j'avaisrepoussant sans cesse le moment d'aller leur rendre visite,
tardé à leur rendre visite. J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, en fin d'après-midi, j'avais évité
de passer dans les parages de leur maison, me reprochant mollement mon
attitude toutefois, tout en me disant que s'il était
ne ferait de mal
I. 323
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause
des Biaggi que je me trouvais ici allongé sur ce lit, immobile et
rêveur, à regarder le plafond. Car c'était pour voir les Biaggi que
je m'étais rendu à Sasuelo. Dans le même temps, je savais très bien
que voir les Biaggi m'attristerait, et, le jour de mon arrivée, j'avais
tardé à leur rendre visite. J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, en fin d'après-midi, j'avais évité
de passer dans les parages de leur maison, me reprochant mollement mon
attitude toutefois, tout en me disant que s'il était
I. 323
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause
des Biaggi que je me trouvais ici. allongé sur ce lit, immobile et
rêveur, à regarder le plafond. Car c'était pour voir les Biaggi que
je m'étais rendu à Sasuelo., pour cette unique raison, même si Dans le même temps, je savais très bien
que voir les Biaggi m'attristerait, et,que j'avais??? à ne pas venir les voir à Sasuelo. que mon intérêt eût été de ne jamais venir les voir à Sasuelo, avec mon fils de surcroît. qu'y renoncer pour toujours eût été préférable le jour de mon arrivée, j'avaisrepoussant sans cesse le moment d'aller leur rendre visite,
tardé à leur rendre visite. J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, en fin d'après-midi, j'avais évité
de passer dans les parages de leur maison, me reprochant mollement mon
attitude toutefois, tout en me disant que s'il était
ne ferait de mal
I. 323
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause
des Biaggi que je me trouvais ici allongé sur ce lit, immobile et
rêveur, à regarder le plafond. Car c'était pour voir les Biaggi que
je m'étais rendu à Sasuelo. Dans le même temps, je savais très bien
que voir les Biaggi m'attristerait, et, le jour de mon arrivée, j'avais
tardé à leur rendre visite. J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, en fin d'après-midi, j'avais évité
de passer dans les parages de leur maison, me reprochant mollement mon
attitude toutefois, tout en me disant que s'il était