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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00325
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I. 325

 Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. 

C'était en quelque sorte pourles voirles Biaggique je m'étais rendu à Sasuelo,

mais,dans le même temps, je savais très bien que les voirles Biaggi m'attristerait,

et, malgré toutes les hésitations qui avaientPOURTANTprécédé mavenue à décision d'aller les voir à Sasuelo,

la première décision que je pris en arrivant fut de renoncer à l'idée

deles voirles Biaggi et ce n'est qu'en fin d'après-midi, voulant mettre un terme

à la tournure d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non

les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que j'avais fini par me

décider à leur faire une visite, très brève m'imaginais-je, juste pour

leur signaler ma présence(de toute manière les Biaggi n'étaient pas là). Leur maison se trouvait légèrement en dehors

du village sur le bord de la route qui montait vers le hameaux voisinet et ???  

était isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait un

enchevêtrement deracines de lierre désséchéeset grisâtres, quise formaient 

soutenaient mutuellement dans un réseaud'équilibre compliquéet fragile 

dont les ramifications de racines décharnées noueuses et grisâtres décharnées qui se soutenaient mutuellement et sortaient le long du mur en s'aggripaient aux interstices naturels

que recelaientlses anfractuositésdu mur. Quelques grands arbres, des

tamaris et des pins, étaient plantéà intervalles réguliers dans le

grandjardinlaissé à l'abandon qu'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée de la propriété et oùdes trèfles et des et marguerites, ça et là, çà et là,  quelques poussaient au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes. où trèfles et marguerites poussaient au petit bonheurla chance 

parmi les herbes hautesque faisait ployer le vent. La

I. 325

 Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. 

C'était en quelque sorte pourles voirque je m'étais rendu à Sasuelo,

maisdans le même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait,

et, malgré toutes les hésitations qui avaientprécédé mavenue à Sasuelo,

la première décision que je pris en arrivant fut de renoncer à l'idée

deles voir et ce n'est qu'en fin d'après-midi, voulant mettre un terme

à la tournure d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non

les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que j'avais fini par me

décider à leur faire une visite, très brève m'imaginais-je, juste pour

leur signaler ma présence. Leur maison se trouvait légèrement en dehors

du village sur le bord de la route qui montait vers le hameaux voisinet  

était isolée de l'extérieur par un mur de pierres qu'envahissait un

enchevêtrement deracines de lierre désséchéeset grisâtres quise  

soutenaient mutuellement dans un réseaud'équilibre compliquéet fragile 

dont les ramifications  décharnées s'aggripaient aux interstices naturels

que recelaientles anfractuositésdu mur. Quelques grands arbres, des

tamaris et des pins, étaient plantéà intervalles réguliers dans le

jardin où trèfles et marguerites poussaient au petit bonheurla chance 

parmi les herbes hautesque faisait ployer le vent. La

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I. 325

 Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. 

C'était en quelque sorte pourles voirles Biaggique je m'étais rendu à Sasuelo,

mais,dans le même temps, je savais très bien que les voirles Biaggi m'attristerait,

et, malgré toutes les hésitations qui avaientPOURTANTprécédé mavenue à décision d'aller les voir à Sasuelo,

la première décision que je pris en arrivant fut de renoncer à l'idée

deles voirles Biaggi et ce n'est qu'en fin d'après-midi, voulant mettre un terme

à la tournure d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non

les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que j'avais fini par me

décider à leur faire une visite, très brève m'imaginais-je, juste pour

leur signaler ma présence(de toute manière les Biaggi n'étaient pas là). Leur maison se trouvait légèrement en dehors

du village sur le bord de la route qui montait vers le hameaux voisinet et ???  

était isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait un

enchevêtrement deracines de lierre désséchéeset grisâtres, quise formaient 

soutenaient mutuellement dans un réseaud'équilibre compliquéet fragile 

dont les ramifications de racines décharnées noueuses et grisâtres décharnées qui se soutenaient mutuellement et sortaient le long du mur en s'aggripaient aux interstices naturels

que recelaientlses anfractuositésdu mur. Quelques grands arbres, des

tamaris et des pins, étaient plantéà intervalles réguliers dans le

grandjardinlaissé à l'abandon qu'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée de la propriété et oùdes trèfles et des et marguerites, ça et là, çà et là,  quelques poussaient au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes. où trèfles et marguerites poussaient au petit bonheurla chance 

parmi les herbes hautesque faisait ployer le vent. La

I. 325

 Le jour de mon arrivée, j'avais tardé à rendre visite aux Biaggi. 

C'était en quelque sorte pourles voirque je m'étais rendu à Sasuelo,

maisdans le même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait,

et, malgré toutes les hésitations qui avaientprécédé mavenue à Sasuelo,

la première décision que je pris en arrivant fut de renoncer à l'idée

deles voir et ce n'est qu'en fin d'après-midi, voulant mettre un terme

à la tournure d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non

les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que j'avais fini par me

décider à leur faire une visite, très brève m'imaginais-je, juste pour

leur signaler ma présence. Leur maison se trouvait légèrement en dehors

du village sur le bord de la route qui montait vers le hameaux voisinet  

était isolée de l'extérieur par un mur de pierres qu'envahissait un

enchevêtrement deracines de lierre désséchéeset grisâtres quise  

soutenaient mutuellement dans un réseaud'équilibre compliquéet fragile 

dont les ramifications  décharnées s'aggripaient aux interstices naturels

que recelaientles anfractuositésdu mur. Quelques grands arbres, des

tamaris et des pins, étaient plantéà intervalles réguliers dans le

jardin où trèfles et marguerites poussaient au petit bonheurla chance 

parmi les herbes hautesque faisait ployer le vent. La

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