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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00375
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 375

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait sur

place au gré des tours du manège, mon fils dans mes bras qui tenait

son phoque contre sa poitrine. A côté de moi, une petoite fille se

trouvait dans un lance-missiles et deux frères habillés presque pareillle

se tenaient assis

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait,

mon fisl dans mes bras qui tenait son phoque contre sa poitrine. A

côté de moi, une petite filleen robe verte se trouvait aux commandes d'un lance-

missiles et deux frèresqui se ressemblaient comme des personnes d'âge différent,,habilléspresque  parail, étaient assis l'un

à côté de l'autre dans un carosseet???   de Carabosse assez moche. Il n'y

avait personne dans l'autobus anglais nimême dans la voitureanglaise 

de sport décapotable,ce qui se??? ???   ???   et un rouquin nerveux, un peu plus loin, pilotait

une diligence. le patron du manège

une??? . 

tirait sur les brides d'un équipage de diligence. Quelques mères et un

grand-père nous regardaient , au pied du manège

Quelques mètres nous regardaient tourner au pied du manège, à côté d'un

grand-père silencieuximpassible  qui lisait le journal debout, jetant à l'occasion

un oeil sur lmes frèresbien a ges dans leur carosse. A chaque

pom  pompon???   tourde manège, la patron du manège [d1]agitait sous nos yeux??? d'avoir auquel pendait  un balllon

pourvu d'une flochecoquelle qu'il manoeuvrait???<d1>

le petite rouquin, qui transpirait d'excitation, se jetait à chque

fois sur le côté pour tacher de s'emparer de la floche, mais le patron

parvenait chaque fois à esquiversa main. ??? . Les deux frères ??? ,d'une avec une  sagessetoute  

orientale, levaient à peine les yeuix sur le balon. Pour ma part, je

souriuauspoliment aveccondescendance indulgence   au patron du manège à chaquetour foisqu'il???  que je passai devant lui, faisais semblant de rien,  si bien que sa vigilance

se relâche et que soudain, me jetantsur le côté  avecune  fulgurance

dans un plongeonde côté  qui faillait jeter mon fils à terre, précédant le???  

geste réflexe du patron du manège qui éloigna???   le ballonau plus loin  denous 

moi, je m'emparai de la flochesans coup férir.. Aussitôt, le patron du manège se mit

à courir à côté de moipourprotester. en petites foulées ,??? au le  rythme du manège  

Ah , non, non, non,non, disait-il protestait-il en??? . ,rRendez-la,, monsieur, rendez-la. Que nenni. 

I. 375

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait sur

place au gré des tours du manège, mon fils dans mes bras qui tenait

son phoque contre sa poitrine. A côté de moi, une petoite fille se

trouvait dans un lance-missiles et deux frères habillés presque pareillle

se tenaient assis

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait,

mon fisl dans mes bras qui tenait son phoque contre sa poitrine. A

côté de moi, une petite fille se trouvait aux commandes d'un lance-

missiles et deux frèreshabilléspresque  parail étaient assis l'un

à côté de l'autre dans un carosse  de Carabosse assez moche. Il n'y

avait personne dans l'autobus anglais ni dans la voitureanglaise 

de sport décapotable,  et un rouquin nerveux, un peu plus loin, pilotait

une diligence. le patron du manège

 

tirait sur les brides d'un équipage de diligence. Quelques mères et un

grand-père nous regardaient , au pied du manège

Quelques mètres nous regardaient tourner au pied du manège, à côté d'un

grand-père silencieux  qui lisait le journal debout, jetant à l'occasion

un oeil sur lmes frèresbien a ges dans leur carosse. A chaque

  tourde manège, la patron du manège agitait sous nos yeux  un balllon

pourvu d'une floche qu'il manoeuvrait

le petite rouquin, qui transpirait d'excitation, se jetait à chque

fois sur le côté pour tacher de s'emparer de la floche, mais le patron

parvenait chaque fois à esquiversa main.  Les deux frères ,d'une   sagesse 

orientale, levaient à peine les yeuix sur le balon. Pour ma part, je

souriuaus   au patron du manège à chaquetour   si bien que sa vigilance

se relâche et que soudain, me jetantsur le côté  avecune  fulgurance

dans un plongeon  qui faillait jeter mon fils à terre, précédant le 

geste réflexe du patron du manège qui éloigna   le ballonau plus loin  de 

moi, je m'emparai de la floche. Aussitôt, le patron du manège se mit

à courir à côté de moipourprotester.    

Ah , non, non, non,non, disait-il  ,rendez-la 

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
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I. 375

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait sur

place au gré des tours du manège, mon fils dans mes bras qui tenait

son phoque contre sa poitrine. A côté de moi, une petoite fille se

trouvait dans un lance-missiles et deux frères habillés presque pareillle

se tenaient assis

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait,

mon fisl dans mes bras qui tenait son phoque contre sa poitrine. A

côté de moi, une petite filleen robe verte se trouvait aux commandes d'un lance-

missiles et deux frèresqui se ressemblaient comme des personnes d'âge différent,,habilléspresque  parail, étaient assis l'un

à côté de l'autre dans un carosseet???   de Carabosse assez moche. Il n'y

avait personne dans l'autobus anglais nimême dans la voitureanglaise 

de sport décapotable,ce qui se??? ???   ???   et un rouquin nerveux, un peu plus loin, pilotait

une diligence. le patron du manège

une??? . 

tirait sur les brides d'un équipage de diligence. Quelques mères et un

grand-père nous regardaient , au pied du manège

Quelques mètres nous regardaient tourner au pied du manège, à côté d'un

grand-père silencieuximpassible  qui lisait le journal debout, jetant à l'occasion

un oeil sur lmes frèresbien a ges dans leur carosse. A chaque

pom  pompon???   tourde manège, la patron du manège [d1]agitait sous nos yeux??? d'avoir auquel pendait  un balllon

pourvu d'une flochecoquelle qu'il manoeuvrait???<d1>

le petite rouquin, qui transpirait d'excitation, se jetait à chque

fois sur le côté pour tacher de s'emparer de la floche, mais le patron

parvenait chaque fois à esquiversa main. ??? . Les deux frères ??? ,d'une avec une  sagessetoute  

orientale, levaient à peine les yeuix sur le balon. Pour ma part, je

souriuauspoliment aveccondescendance indulgence   au patron du manège à chaquetour foisqu'il???  que je passai devant lui, faisais semblant de rien,  si bien que sa vigilance

se relâche et que soudain, me jetantsur le côté  avecune  fulgurance

dans un plongeonde côté  qui faillait jeter mon fils à terre, précédant le???  

geste réflexe du patron du manège qui éloigna???   le ballonau plus loin  denous 

moi, je m'emparai de la flochesans coup férir.. Aussitôt, le patron du manège se mit

à courir à côté de moipourprotester. en petites foulées ,??? au le  rythme du manège  

Ah , non, non, non,non, disait-il protestait-il en??? . ,rRendez-la,, monsieur, rendez-la. Que nenni. 

I. 375

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait sur

place au gré des tours du manège, mon fils dans mes bras qui tenait

son phoque contre sa poitrine. A côté de moi, une petoite fille se

trouvait dans un lance-missiles et deux frères habillés presque pareillle

se tenaient assis

J'avais pris place sur un cheval de bois qui montait et descendait,

mon fisl dans mes bras qui tenait son phoque contre sa poitrine. A

côté de moi, une petite fille se trouvait aux commandes d'un lance-

missiles et deux frèreshabilléspresque  parail étaient assis l'un

à côté de l'autre dans un carosse  de Carabosse assez moche. Il n'y

avait personne dans l'autobus anglais ni dans la voitureanglaise 

de sport décapotable,  et un rouquin nerveux, un peu plus loin, pilotait

une diligence. le patron du manège

 

tirait sur les brides d'un équipage de diligence. Quelques mères et un

grand-père nous regardaient , au pied du manège

Quelques mètres nous regardaient tourner au pied du manège, à côté d'un

grand-père silencieux  qui lisait le journal debout, jetant à l'occasion

un oeil sur lmes frèresbien a ges dans leur carosse. A chaque

  tourde manège, la patron du manège agitait sous nos yeux  un balllon

pourvu d'une floche qu'il manoeuvrait

le petite rouquin, qui transpirait d'excitation, se jetait à chque

fois sur le côté pour tacher de s'emparer de la floche, mais le patron

parvenait chaque fois à esquiversa main.  Les deux frères ,d'une   sagesse 

orientale, levaient à peine les yeuix sur le balon. Pour ma part, je

souriuaus   au patron du manège à chaquetour   si bien que sa vigilance

se relâche et que soudain, me jetantsur le côté  avecune  fulgurance

dans un plongeon  qui faillait jeter mon fils à terre, précédant le 

geste réflexe du patron du manège qui éloigna   le ballonau plus loin  de 

moi, je m'emparai de la floche. Aussitôt, le patron du manège se mit

à courir à côté de moipourprotester.    

Ah , non, non, non,non, disait-il  ,rendez-la 

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