I. 405

Il avait plu cette nuit et, tout près de là, sur le sol de la place, je

remarquai une grande flaque d'eau immobile dans la pénombre, qui reflétait

faiblement les arbres et les toits des maisons avoisinantes. Un souffle

de vent, parfois, faisaitlégèrement  frissonner l'eaudans une cascade de frémissements successifs qui  qui était et la parcourueait par  d'une onde de frémissements successifs qui A chaque souffle de vent, la surface de la flaque étaitparfois parcourue par une onde de frémissements successifs qui et tandis qu'ils se recomposaient lentementau centre de la flaque, à la surface de l'eau,  et brouillait un

instant les reflets à la surface, tandis qu'au centre de la flaque, je

me rendis compte que miroitait le profil argenté de la vieille Mercedes

grise, à côté de laquelle, par je ne sais quel jeu de perspectives et

d'angle mort, il n'y avait aucune trace de ma présence.