I. 421
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longuesvolutes de nuages noirs qui glissaient dans son halo
comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que je tra-
versai sans bruit,une la cabine téléphoniqueles cimes des arbres ployaient lourdement sous le ventautour et des feuilles mortes s'envolaientdans un bruissement de feuilles. ,au loin, s'élevaitau loin là dans la
pénombre,faiblement éclairée par la lune, et, au loin, une petite à côté de lquelle était garée une petit fourgonette blanche
que je n'avais jamais vue . Je serrai mon manteau autour de moicar le pour me protéger
du vents'était levé, faisant voler des feuilles mortes sur la place ainsi
qu'une grande feuille de journal qui alla s'enrouler contre le tronc
d'un arbre , et pris la direction du port en longeant le terre-plein meubletout au long dusur le rivage
et relativement solide que les algues séchées qui s'étaient accumulées
dans le port formaient en bordure du bassin principal.Nos chaussures Il n'y avait pas un chat dans le port
s'enfonçaient dans les algues, et la petite jetée de pierres'étendait s'étendait était étendue dans l'obscurité,
au loin dans l'obscurité , qu'e venait éclairait violemment par intermittencepar lLe long faisceu
du phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'échappant balayant déjàpour balayer au loin
la surface de la mer.
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Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longs nuages noirs qui glissaient dans son halo
comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que je tra-
versai sans bruit,une cabine téléphonique s'élevaitau loin là dans la
pénombre, à côté de lquelle était garée une petit fourgonette blanche
que je n'avais jamais vue . Je serrai mon manteau autour de moicar le
vents'était levé, faisant voler des feuilles mortes sur la place ainsi
qu'une grande feuille de journal qui alla s'enrouler contre le tronc
d'un arbre , et pris la direction du port en longeant le terre-plein meuble
et relativement solide que les algues séchées qui s'étaient accumulées
dans le port formaient en bordure du bassin principal.Nos chaussures
s'enfonçaient dans les algues, et la petite jetée de pierres'étendait
au loin dans l'obscurité , qu' éclairait par intermittence le long faisceu
du phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'échappant déjàpour balayer au loin
la surface de la mer.
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Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longuesvolutes de nuages noirs qui glissaient dans son halo
comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que je tra-
versai sans bruit,une la cabine téléphoniqueles cimes des arbres ployaient lourdement sous le ventautour et des feuilles mortes s'envolaientdans un bruissement de feuilles. ,au loin, s'élevaitau loin là dans la
pénombre,faiblement éclairée par la lune, et, au loin, une petite à côté de lquelle était garée une petit fourgonette blanche
que je n'avais jamais vue . Je serrai mon manteau autour de moicar le pour me protéger
du vents'était levé, faisant voler des feuilles mortes sur la place ainsi
qu'une grande feuille de journal qui alla s'enrouler contre le tronc
d'un arbre , et pris la direction du port en longeant le terre-plein meubletout au long dusur le rivage
et relativement solide que les algues séchées qui s'étaient accumulées
dans le port formaient en bordure du bassin principal.Nos chaussures Il n'y avait pas un chat dans le port
s'enfonçaient dans les algues, et la petite jetée de pierres'étendait s'étendait était étendue dans l'obscurité,
au loin dans l'obscurité , qu'e venait éclairait violemment par intermittencepar lLe long faisceu
du phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'échappant balayant déjàpour balayer au loin
la surface de la mer.
I. 421
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longs nuages noirs qui glissaient dans son halo
comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que je tra-
versai sans bruit,une cabine téléphonique s'élevaitau loin là dans la
pénombre, à côté de lquelle était garée une petit fourgonette blanche
que je n'avais jamais vue . Je serrai mon manteau autour de moicar le
vents'était levé, faisant voler des feuilles mortes sur la place ainsi
qu'une grande feuille de journal qui alla s'enrouler contre le tronc
d'un arbre , et pris la direction du port en longeant le terre-plein meuble
et relativement solide que les algues séchées qui s'étaient accumulées
dans le port formaient en bordure du bassin principal.Nos chaussures
s'enfonçaient dans les algues, et la petite jetée de pierres'étendait
au loin dans l'obscurité , qu' éclairait par intermittence le long faisceu
du phare, qui disparaissait aussitôt pour ne réapparaître que beaucoup
plus tard avec la même fulgurance,s'échappant déjàpour balayer au loin
la surface de la mer.