I. 423
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine qui apparaissait dans le ciel??? des façaces grises et silencieuses??? , ,que
voilait en partievoilées par de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans
son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.[d1]Sur la place du village, la
Une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre<d1>, et une petite fourgonnette
blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai
mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction
du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les
algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année s'étaient accumulées dans le port formaient en
bordure du bassin principal.[Le port était désert, et le long faisceau du
phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait
aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,
balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.
Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la
petite jetée de pierre dans l'obscurité,que qu'éclairait par intermittence
le long faisceau du phare.
I. 423
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine dans le ciel ,que
voilait en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans
son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.Sur la place du village, la
cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, et une petite fourgonnette
blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai
mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction
du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les
algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année formaient en
bordure du bassin principal.Le port était désert, et le long faisceau du
phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait
aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,
balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.
Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la
petite jetée de pierre dans l'obscurité,que qu'éclairait par intermittence
le long faisceau du phare.
I. 423
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine qui apparaissait dans le ciel??? des façaces grises et silencieuses??? , ,que
voilait en partievoilées par de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans
son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.[d1]Sur la place du village, la
Une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre<d1>, et une petite fourgonnette
blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai
mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction
du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les
algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année s'étaient accumulées dans le port formaient en
bordure du bassin principal.[Le port était désert, et le long faisceau du
phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait
aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,
balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.
Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la
petite jetée de pierre dans l'obscurité,que qu'éclairait par intermittence
le long faisceau du phare.
I. 423
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine dans le ciel ,que
voilait en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans
son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.Sur la place du village, la
cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, et une petite fourgonnette
blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai
mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction
du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les
algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année formaient en
bordure du bassin principal.Le port était désert, et le long faisceau du
phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait
aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,
balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.
Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la
petite jetée de pierre dans l'obscurité,que qu'éclairait par intermittence
le long faisceau du phare.