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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00423
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I. 423

 Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine qui apparaissait  dans le ciel??? des façaces grises et silencieuses??? , ,que 

voilait  en partievoilées par de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.[d1]Sur la place du village, la

Une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre<d1>, et une petite fourgonnette

blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai

mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction

du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les

algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année s'étaient accumulées dans le port formaient en

bordure du bassin principal.[Le port était désert, et le long faisceau du

phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait

aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,

balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.

Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la

petite jetée de pierre dans l'obscurité,que  qu'éclairait par intermittence

le long faisceau du phare. 

I. 423

 Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine   dans le ciel ,que 

voilait  en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.Sur la place du village, la

 cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, et une petite fourgonnette

blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai

mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction

du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les

algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année  formaient en

bordure du bassin principal.Le port était désert, et le long faisceau du

phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait

aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,

balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.

Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la

petite jetée de pierre dans l'obscurité,que  qu'éclairait par intermittence

le long faisceau du phare. 

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I. 423

 Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine qui apparaissait  dans le ciel??? des façaces grises et silencieuses??? , ,que 

voilait  en partievoilées par de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.[d1]Sur la place du village, la

Une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre<d1>, et une petite fourgonnette

blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai

mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction

du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les

algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année s'étaient accumulées dans le port formaient en

bordure du bassin principal.[Le port était désert, et le long faisceau du

phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait

aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,

balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.

Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la

petite jetée de pierre dans l'obscurité,que  qu'éclairait par intermittence

le long faisceau du phare. 

I. 423

 Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La luneétait pleine   dans le ciel ,que 

voilait  en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.Sur la place du village, la

 cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, et une petite fourgonnette

blanche que je n'avais jamais vue était garée près de la fontaine. Je serrai

mon manteau autour de moi car le vent s'était levé et pris la direction

du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide que les

algues séchées quis'accumulaient là tout au long de l'année  formaient en

bordure du bassin principal.Le port était désert, et le long faisceau du

phare venait l'éclairer violemment par intermittence, qui disparaissait

aussitôt pour ne répaparaître que beaucoup plus tard avec la même fulgurance,

balayant déjà la surface de la mer à des kilomètres de là.

Mes chaussures s'enfonçaient dans les algues, et j'apercevais au loin la

petite jetée de pierre dans l'obscurité,que  qu'éclairait par intermittence

le long faisceau du phare. 

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