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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00436
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I. 436

principal. Il n'y avait pas un bruit dans le port, et le phare de l'île

de Sasuelo éclairait la jetée par intermittence. Je m'étais avancéen 

silence sur le quai,les deux mains enfoncées dans les poches,  et je

regardais le cadavre du chat, qui flottait dansune eau noire, le corps l'obscurité 

à moitié renversé sur le côté. A intervalles réguliers, le long faisceau

du phare venaitl'éclairerles eaux du port  et [d1]fixait  le temps d'un éclair<d1> 

sur ma rétine dans la lumière  lsa gueule horriblement ouverte et crispéedu cadavre du 

chat pour disparaître aussitôt dans la nuit, et replonger la jetée dans 

l'obscurité,  balayantdéjà  au loindans sa fuite  la surface immobile de la mer.

                   la lumière du phare revenait raser les eaux du port avant de s'élargir à nouveau et de replonger

I. 436

principal. Il n'y avait pas un bruit dans le port, et le phare de l'île

de Sasuelo éclairait la jetée par intermittence. Je m'étais avancéen 

silence sur le quai,les deux mains enfoncées dans les poches,  et je

regardais le cadavre du chat, qui flottait dansune eau noire, le corps  

à moitié renversé sur le côté. A intervalles réguliers, le long faisceau

du phare venaitéclairerles eaux du port  et fixait  le temps d'un éclair 

sur ma rétine   la gueule horriblement ouverte et crispéedu cadavre du 

chat pour disparaître aussitôt dans la nuit et replonger la jetée dans 

l'obscurité,  balayant  au loindans sa fuite  la surface immobile de la mer.

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I. 436

principal. Il n'y avait pas un bruit dans le port, et le phare de l'île

de Sasuelo éclairait la jetée par intermittence. Je m'étais avancéen 

silence sur le quai,les deux mains enfoncées dans les poches,  et je

regardais le cadavre du chat, qui flottait dansune eau noire, le corps l'obscurité 

à moitié renversé sur le côté. A intervalles réguliers, le long faisceau

du phare venaitl'éclairerles eaux du port  et [d1]fixait  le temps d'un éclair<d1> 

sur ma rétine dans la lumière  lsa gueule horriblement ouverte et crispéedu cadavre du 

chat pour disparaître aussitôt dans la nuit, et replonger la jetée dans 

l'obscurité,  balayantdéjà  au loindans sa fuite  la surface immobile de la mer.

                   la lumière du phare revenait raser les eaux du port avant de s'élargir à nouveau et de replonger

I. 436

principal. Il n'y avait pas un bruit dans le port, et le phare de l'île

de Sasuelo éclairait la jetée par intermittence. Je m'étais avancéen 

silence sur le quai,les deux mains enfoncées dans les poches,  et je

regardais le cadavre du chat, qui flottait dansune eau noire, le corps  

à moitié renversé sur le côté. A intervalles réguliers, le long faisceau

du phare venaitéclairerles eaux du port  et fixait  le temps d'un éclair 

sur ma rétine   la gueule horriblement ouverte et crispéedu cadavre du 

chat pour disparaître aussitôt dans la nuit et replonger la jetée dans 

l'obscurité,  balayant  au loindans sa fuite  la surface immobile de la mer.

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