II. 2
Je descendis prendre le petit-déjeuner assez tard le lendemain matin,
et le patron ne m'adressai pas un mot lorsque j'entrai dans la salle. Il
était occupé à débarrasser les autres tables, et s'interrompit pour m'apporter
un pot de café noir
continuant à débarrasser les autres tables sur lesquellesse trouvaient
des restes de petit-déjener ayant été abandonnés,, des morceaux de pains entamés, des petits
pots de confiture ouvert, des échantillons de beurredont encore gras
dont le papier était écorné, des miettes./ Trois tables avaient ainsi
été occupées, et cela me parut curieux car il me semblait que les autres
jours [d1]seulement deux tables<d1> étaientoccupées ??? . Se pouvait-il quequelqu'un Biaggi
d'autre fût descendu prendre son petit déjeuner ce matinà la salle à manger de l'hôtel ? Et si c'était
Biaggi -- car je songeai immédiatement à lui, pourquoi serait-il descendu
le prendreun petit-déjeuner précisément ce matinet pas les autres jours pour la première fois ? Pourquoi, s'il
se trouvait à l'hôtel, ne s'était-il pas fait monter son petit-déjeuner
dans sa chambre comme il avait dû le faire kles autres jours. Lui était-il
égal maintenant que je sacheque je me qu'il se trouvaist à l'hôtel, ou s'était-il
rendu compte que jele savais m'en doutais et ne cherchait-il pasà se cacher désormais à s'en cacher ?
ou savait-il que je m'én étais rendu compte. Jem'étais m'assis à une table, et
assis mon fils à côté demoi sur une chause dans sa poussette, etre jeretournai la tasse j'attendis que le patron se décide à m'apporter mon café
ren La terrasses'étendait derrière la vaie vitrée, où il pleuvinait.
II. 2
Je descendis prendre le petit-déjeuner assez tard le lendemain matin,
et le patron ne m'adressai pas un mot lorsque j'entrai dans la salle. Il
était occupé à débarrasser les autres tables, et s'interrompit pour m'apporter
un pot de café noir
continuant à débarrasser les autres tables sur lesquellesse trouvaient
des restes de petit-déjener, des morceaux de pains entamés, des petits
pots de confiture ouvert, des échantillons de beurredont encore gras
dont le papier était écorné, des miettes./ Trois tables avaient ainsi
été occupées, et cela me parut curieux car il me semblait que les autres
jours seulement deux tables étaientoccupées . Se pouvait-il quequelqu'un
d'autre fût descendu prendre son petit déjeuner ce matin ? Et si c'était
Biaggi -- car je songeai immédiatement à lui, pourquoi serait-il descendu
le prendre précisément ce matinet pas les autres jours ? Pourquoi, s'il
se trouvait à l'hôtel, ne s'était-il pas fait monter son petit-déjeuner
dans sa chambre comme il avait dû le faire kles autres jours. Lui était-il
égal maintenant que je sacheque je me trouvais à l'hôtel, ou s'était-il
rendu compte que jele savais
ou savait-il que je m'én étais rendu compte. Je m'assis à une table, et
assis mon fils à côté demoi sur une chause , etre jeretournai la tasse
ren La terrasse
II. 2
Je descendis prendre le petit-déjeuner assez tard le lendemain matin,
et le patron ne m'adressai pas un mot lorsque j'entrai dans la salle. Il
était occupé à débarrasser les autres tables, et s'interrompit pour m'apporter
un pot de café noir
continuant à débarrasser les autres tables sur lesquellesse trouvaient
des restes de petit-déjener ayant été abandonnés,, des morceaux de pains entamés, des petits
pots de confiture ouvert, des échantillons de beurredont encore gras
dont le papier était écorné, des miettes./ Trois tables avaient ainsi
été occupées, et cela me parut curieux car il me semblait que les autres
jours [d1]seulement deux tables<d1> étaientoccupées ??? . Se pouvait-il quequelqu'un Biaggi
d'autre fût descendu prendre son petit déjeuner ce matinà la salle à manger de l'hôtel ? Et si c'était
Biaggi -- car je songeai immédiatement à lui, pourquoi serait-il descendu
le prendreun petit-déjeuner précisément ce matinet pas les autres jours pour la première fois ? Pourquoi, s'il
se trouvait à l'hôtel, ne s'était-il pas fait monter son petit-déjeuner
dans sa chambre comme il avait dû le faire kles autres jours. Lui était-il
égal maintenant que je sacheque je me qu'il se trouvaist à l'hôtel, ou s'était-il
rendu compte que jele savais m'en doutais et ne cherchait-il pasà se cacher désormais à s'en cacher ?
ou savait-il que je m'én étais rendu compte. Jem'étais m'assis à une table, et
assis mon fils à côté demoi sur une chause dans sa poussette, etre jeretournai la tasse j'attendis que le patron se décide à m'apporter mon café
ren La terrasses'étendait derrière la vaie vitrée, où il pleuvinait.
II. 2
Je descendis prendre le petit-déjeuner assez tard le lendemain matin,
et le patron ne m'adressai pas un mot lorsque j'entrai dans la salle. Il
était occupé à débarrasser les autres tables, et s'interrompit pour m'apporter
un pot de café noir
continuant à débarrasser les autres tables sur lesquellesse trouvaient
des restes de petit-déjener, des morceaux de pains entamés, des petits
pots de confiture ouvert, des échantillons de beurredont encore gras
dont le papier était écorné, des miettes./ Trois tables avaient ainsi
été occupées, et cela me parut curieux car il me semblait que les autres
jours seulement deux tables étaientoccupées . Se pouvait-il quequelqu'un
d'autre fût descendu prendre son petit déjeuner ce matin ? Et si c'était
Biaggi -- car je songeai immédiatement à lui, pourquoi serait-il descendu
le prendre précisément ce matinet pas les autres jours ? Pourquoi, s'il
se trouvait à l'hôtel, ne s'était-il pas fait monter son petit-déjeuner
dans sa chambre comme il avait dû le faire kles autres jours. Lui était-il
égal maintenant que je sacheque je me trouvais à l'hôtel, ou s'était-il
rendu compte que jele savais
ou savait-il que je m'én étais rendu compte. Je m'assis à une table, et
assis mon fils à côté demoi sur une chause , etre jeretournai la tasse
ren La terrasse