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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00004
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  • Tapuscrit

II. 4

Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne

répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller

et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir il apporta

un plateau qu'il posa sur le bord d'une table pour commencer à le remplir.

Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il. Il me regardait

avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi, finit-il par

dire, et il m'expliqua en débarrassant les tasses que sa femme souffrait

d'insomnie depuis deux ou trois nuitset qu'elle lisait très tard dans son lit avant de s'endormir. La pleine lune, peut-être, dit-il.

Je sentais à son regard qu'il me reprochait de les avoir réveillé la

nuit dernière, mais il ne me reprochait rien directement etrestait 

contin uait seulement

Je sentais qu'il me tenait rigueur de les avoir réveillé laen pleine nuit  dernière,

mais il ne mes'arrangeait pour ne rien me reprochaiter rien directement et continuait seulement de front et s'arranger simplement àpour  me bien 

expliquer certaines choses pour  me fairebien sentir que je les avaisdérangés 

, en ???  sa m'expliquant que sa femme lisait très tard dans son lit et que

parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre

son livre. Et qu'est-ce qu'elle lit, dis-je, en ce pmoment ? Il me

regarda, parut très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais pas

dû la poser, mais je me sentais mal à l'aise et j'avais envie de détourner

la conversation. Oh, là, elle lit une grosse biographie d'Henri IV, sou-

pira-t-il. La poule au pot, voyez, dit-il. Oui, oui, dis-je, la poule

au pot. La poule au pot !

II. 4

Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne

répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller

et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir il apporta

un plateau qu'il posa sur le bord d'une table pour commencer à le remplir.

Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il. Il me regardait

avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi, finit-il par

dire, et il m'expliqua en débarrassant les tasses que sa femme souffrait

d'insomnie depuis deux ou trois nuits. La pleine lune, peut-être, dit-il.

Je sentais à son regard qu'il me reprochait de les avoir réveillé la

nuit dernière, mais il ne me reprochait rien directement etrestait 

contin uait seulement

Je sentais qu'il me tenait rigueur de les avoir réveillé la nuit  dernière,

mais il ne me reprochait rien directement et continuait seulement  à  me  

expliquer certaines choses pour  me fairebien sentir que je les avais 

,   m'expliquant que sa femme lisait très tard dans son lit et que

parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre

son livre. Et qu'est-ce qu'elle lit, dis-je, en ce pmoment ? Il me

regarda, parut très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais pas

dû la poser, mais je me sentais mal à l'aise et j'avais envie de détourner

la conversation. Oh, là, elle lit une grosse biographie d'Henri IV, sou-

pira-t-il. La poule au pot, voyez, dit-il. Oui, oui, dis-je, la poule

au pot. La poule au pot !

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II. 4

Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne

répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller

et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir il apporta

un plateau qu'il posa sur le bord d'une table pour commencer à le remplir.

Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il. Il me regardait

avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi, finit-il par

dire, et il m'expliqua en débarrassant les tasses que sa femme souffrait

d'insomnie depuis deux ou trois nuitset qu'elle lisait très tard dans son lit avant de s'endormir. La pleine lune, peut-être, dit-il.

Je sentais à son regard qu'il me reprochait de les avoir réveillé la

nuit dernière, mais il ne me reprochait rien directement etrestait 

contin uait seulement

Je sentais qu'il me tenait rigueur de les avoir réveillé laen pleine nuit  dernière,

mais il ne mes'arrangeait pour ne rien me reprochaiter rien directement et continuait seulement de front et s'arranger simplement àpour  me bien 

expliquer certaines choses pour  me fairebien sentir que je les avaisdérangés 

, en ???  sa m'expliquant que sa femme lisait très tard dans son lit et que

parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre

son livre. Et qu'est-ce qu'elle lit, dis-je, en ce pmoment ? Il me

regarda, parut très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais pas

dû la poser, mais je me sentais mal à l'aise et j'avais envie de détourner

la conversation. Oh, là, elle lit une grosse biographie d'Henri IV, sou-

pira-t-il. La poule au pot, voyez, dit-il. Oui, oui, dis-je, la poule

au pot. La poule au pot !

II. 4

Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne

répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller

et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir il apporta

un plateau qu'il posa sur le bord d'une table pour commencer à le remplir.

Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il. Il me regardait

avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi, finit-il par

dire, et il m'expliqua en débarrassant les tasses que sa femme souffrait

d'insomnie depuis deux ou trois nuits. La pleine lune, peut-être, dit-il.

Je sentais à son regard qu'il me reprochait de les avoir réveillé la

nuit dernière, mais il ne me reprochait rien directement etrestait 

contin uait seulement

Je sentais qu'il me tenait rigueur de les avoir réveillé la nuit  dernière,

mais il ne me reprochait rien directement et continuait seulement  à  me  

expliquer certaines choses pour  me fairebien sentir que je les avais 

,   m'expliquant que sa femme lisait très tard dans son lit et que

parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre

son livre. Et qu'est-ce qu'elle lit, dis-je, en ce pmoment ? Il me

regarda, parut très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais pas

dû la poser, mais je me sentais mal à l'aise et j'avais envie de détourner

la conversation. Oh, là, elle lit une grosse biographie d'Henri IV, sou-

pira-t-il. La poule au pot, voyez, dit-il. Oui, oui, dis-je, la poule

au pot. La poule au pot !

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