II. 6
Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne
répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller
et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir ilemporta apportai
un plateauet le qu'il posa surle bout d'une tablepour où trois personnes avaient pris leur
petit-déjeuner. Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il.
Il me regardait avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi,
finit-il par dire,la pleine lune peut-être, et il m'expliqua en débarrassant
les tasses que sa femme souffrait d'insomnie depuis deux ou trois nuits,
Le pleine lune, peut-être,dit-il lui aussi et qu'elle lisait très tard dans son lit sa chambre, que parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre son livre.
Il me regarda, paraissant très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais sans doute pas dû la poser, mais --> sentais je il me mettait mal à l'aise et j'avais envie de détourner la conversation.
II. 6
Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne
répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller
et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir ilemporta
un plateauet le posa surune table où trois personnes avaient pris leur
petit-déjeuner. Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il.
Il me regardait avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi,
finit-il par dire,la pleine lune peut-être, et il m'expliqua en débarrassant
les tasses que sa femme souffrait d'insomnie depuis deux ou trois nuits
Le pleine lune, peut-être,dit-il
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Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne
répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller
et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir ilemporta apportai
un plateauet le qu'il posa surle bout d'une tablepour où trois personnes avaient pris leur
petit-déjeuner. Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il.
Il me regardait avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi,
finit-il par dire,la pleine lune peut-être, et il m'expliqua en débarrassant
les tasses que sa femme souffrait d'insomnie depuis deux ou trois nuits,
Le pleine lune, peut-être,dit-il lui aussi et qu'elle lisait très tard dans son lit sa chambre, que parfois même elle rallumait la lumière en pleine nuit pour reprendre son livre.
Il me regarda, paraissant très étonné de ma question. Je savais que je n'aurais sans doute pas dû la poser, mais --> sentais je il me mettait mal à l'aise et j'avais envie de détourner la conversation.
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Je suis désolé de vous avoir réveillé la nuit dernière, dis-je. Il ne
répondit pas, continua de débarrasser les tasses. Je le voyais aller
et venir de son pas lourd de la salle à l'office, pour finir ilemporta
un plateauet le posa surune table où trois personnes avaient pris leur
petit-déjeuner. Vous avez mal dormi la nuit dernière, non ? me dit-il.
Il me regardait avec méfiance, et je ne répondis rien. Ma femme aussi,
finit-il par dire,la pleine lune peut-être, et il m'expliqua en débarrassant
les tasses que sa femme souffrait d'insomnie depuis deux ou trois nuits
Le pleine lune, peut-être,dit-il