• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00026
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 26

le vent avait pu faire tomber un parasol aussi lourd alors que rien d'autre

ne semblait avoir bougé sur la terrasse, ni les jarres de terre cuite

qui s'élevaient de chaque côté de la baie vitrée, ni les meubles de jardin

disposés un peu plus loin dans la pénombre. Des feuilles mortes jonchaient

le sol un peu partout aux alentours de la villa, tandis que quelques mégots

délavés par la pluie reposaient çà et là dans le gravier. Je levai la tête

un instant pour regarder la façade, et je remarquai qu'un des volets du

premier étage n'était pas tout à fait fermé, qui laissait un mince entre-

baîllement ouvert entre la fenêtre et le mur, le crochet de sécurité du volet

étant défait qui pendait dans le vide contre le mur. Et Biaggi se trouvait

là dissumulé dans l'ombre, me semblait-il, qui observait tous mes déplacements

depuis la fenêtre de premier étage.

 Après être resté un long moment ndécis sur la terrasse, presque immobile

et les yeux fixés sur le volet, je m'approchai lentement de la maison. J'avais

décidé ??? d'entrer dans la maison,  oui, et la peur de me trouver

face à face avec Biaggi n'était pas moindre que celle que j'éprouvais en

ce moment de savoir qu'il était peut-être toujours en train de m'observer.

Jecontournai longeai la villa la maison jusqu'au garage  en gardant un oeil sur le volet du premier étage,

et, traversant l'allée de graviers que la lune éclairait faiblement, je me

dirigeai vers le garage dont le bâtiment étant attenant à la villa

J'hésitai un instant devant la porte et, me retournant encore une fois sur

le jardin désert qui s'étendait dans l'obscurité, j'entraije pénétrai  sans bruit dansje poussai sans bruit la porte du garage pour entrer dans la maison 

la maisonla villa par le garage. Les murs étaient très sombres dans le garage, qui

se détachaient à peine de l'obscurité, et une barque étaitentreposée renversée  là

dans le noir, tandis que, le long du mur, divers objets étaientposés par terre contre le mur entreposés dans l'ombre,

des bidons d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en

bois couchées l'une à côté de l'autre sur le sol. Je m'avançai lentement

jusqu'au fond de la pièce et allai ouvrir une petite porte métallique,???  et que???  deux marches,qui

donnaitsur dans  une sorte de cellier, où, à côté d'une grande étagère remplie de

II. 26

le vent avait pu faire tomber un parasol aussi lourd alors que rien d'autre

ne semblait avoir bougé sur la terrasse, ni les jarres de terre cuite

qui s'élevaient de chaque côté de la baie vitrée, ni les meubles de jardin

disposés un peu plus loin dans la pénombre. Des feuilles mortes jonchaient

le sol un peu partout aux alentours de la villa, tandis que quelques mégots

délavés par la pluie reposaient çà et là dans le gravier. Je levai la tête

un instant pour regarder la façade, et je remarquai qu'un des volets du

premier étage n'était pas tout à fait fermé, qui laissait un mince entre-

baîllement ouvert entre la fenêtre et le mur, le crochet de sécurité du volet

étant défait qui pendait dans le vide contre le mur. Et Biaggi se trouvait

là dissumulé dans l'ombre, me semblait-il, qui observait tous mes déplacements

depuis la fenêtre de premier étage.

 Après être resté un long moment ndécis sur la terrasse, presque immobile

et les yeux fixés sur le volet, je m'approchai lentement de la maison. J'avais

décidé  d'entrer dans la maison  oui, et la peur de me trouver

face à face avec Biaggi n'était pas moindre que celle que j'éprouvais en

ce moment de savoir qu'il était peut-être toujours en train de m'observer.

Jecontournai  la villa   en gardant un oeil sur le volet du premier étage,

et, traversant l'allée de graviers que la lune éclairait faiblement, je me

dirigeai vers le garage dont le bâtiment étant attenant à la villa

J'hésitai un instant devant la porte et, me retournant encore une fois sur

le jardin désert qui s'étendait dans l'obscurité, j'entrai  sans bruit dans 

la maison par le garage. Les murs étaient très sombres dans le garage, qui

se détachaient à peine de l'obscurité, et une barque étaitentreposée   là

dans le noir, tandis que divers objets étaientposés par terre contre le mur ,

des bidons d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en

bois couchées l'une à côté de l'autre sur le sol. Je m'avançai lentement

jusqu'au fond de la pièce et allai ouvrir une petite porte métallique,qui

donnaitsur   une sorte de cellier, où, à côté d'une grande étagère remplie de

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 26

le vent avait pu faire tomber un parasol aussi lourd alors que rien d'autre

ne semblait avoir bougé sur la terrasse, ni les jarres de terre cuite

qui s'élevaient de chaque côté de la baie vitrée, ni les meubles de jardin

disposés un peu plus loin dans la pénombre. Des feuilles mortes jonchaient

le sol un peu partout aux alentours de la villa, tandis que quelques mégots

délavés par la pluie reposaient çà et là dans le gravier. Je levai la tête

un instant pour regarder la façade, et je remarquai qu'un des volets du

premier étage n'était pas tout à fait fermé, qui laissait un mince entre-

baîllement ouvert entre la fenêtre et le mur, le crochet de sécurité du volet

étant défait qui pendait dans le vide contre le mur. Et Biaggi se trouvait

là dissumulé dans l'ombre, me semblait-il, qui observait tous mes déplacements

depuis la fenêtre de premier étage.

 Après être resté un long moment ndécis sur la terrasse, presque immobile

et les yeux fixés sur le volet, je m'approchai lentement de la maison. J'avais

décidé ??? d'entrer dans la maison,  oui, et la peur de me trouver

face à face avec Biaggi n'était pas moindre que celle que j'éprouvais en

ce moment de savoir qu'il était peut-être toujours en train de m'observer.

Jecontournai longeai la villa la maison jusqu'au garage  en gardant un oeil sur le volet du premier étage,

et, traversant l'allée de graviers que la lune éclairait faiblement, je me

dirigeai vers le garage dont le bâtiment étant attenant à la villa

J'hésitai un instant devant la porte et, me retournant encore une fois sur

le jardin désert qui s'étendait dans l'obscurité, j'entraije pénétrai  sans bruit dansje poussai sans bruit la porte du garage pour entrer dans la maison 

la maisonla villa par le garage. Les murs étaient très sombres dans le garage, qui

se détachaient à peine de l'obscurité, et une barque étaitentreposée renversée  là

dans le noir, tandis que, le long du mur, divers objets étaientposés par terre contre le mur entreposés dans l'ombre,

des bidons d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en

bois couchées l'une à côté de l'autre sur le sol. Je m'avançai lentement

jusqu'au fond de la pièce et allai ouvrir une petite porte métallique,???  et que???  deux marches,qui

donnaitsur dans  une sorte de cellier, où, à côté d'une grande étagère remplie de

II. 26

le vent avait pu faire tomber un parasol aussi lourd alors que rien d'autre

ne semblait avoir bougé sur la terrasse, ni les jarres de terre cuite

qui s'élevaient de chaque côté de la baie vitrée, ni les meubles de jardin

disposés un peu plus loin dans la pénombre. Des feuilles mortes jonchaient

le sol un peu partout aux alentours de la villa, tandis que quelques mégots

délavés par la pluie reposaient çà et là dans le gravier. Je levai la tête

un instant pour regarder la façade, et je remarquai qu'un des volets du

premier étage n'était pas tout à fait fermé, qui laissait un mince entre-

baîllement ouvert entre la fenêtre et le mur, le crochet de sécurité du volet

étant défait qui pendait dans le vide contre le mur. Et Biaggi se trouvait

là dissumulé dans l'ombre, me semblait-il, qui observait tous mes déplacements

depuis la fenêtre de premier étage.

 Après être resté un long moment ndécis sur la terrasse, presque immobile

et les yeux fixés sur le volet, je m'approchai lentement de la maison. J'avais

décidé  d'entrer dans la maison  oui, et la peur de me trouver

face à face avec Biaggi n'était pas moindre que celle que j'éprouvais en

ce moment de savoir qu'il était peut-être toujours en train de m'observer.

Jecontournai  la villa   en gardant un oeil sur le volet du premier étage,

et, traversant l'allée de graviers que la lune éclairait faiblement, je me

dirigeai vers le garage dont le bâtiment étant attenant à la villa

J'hésitai un instant devant la porte et, me retournant encore une fois sur

le jardin désert qui s'étendait dans l'obscurité, j'entrai  sans bruit dans 

la maison par le garage. Les murs étaient très sombres dans le garage, qui

se détachaient à peine de l'obscurité, et une barque étaitentreposée   là

dans le noir, tandis que divers objets étaientposés par terre contre le mur ,

des bidons d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en

bois couchées l'une à côté de l'autre sur le sol. Je m'avançai lentement

jusqu'au fond de la pièce et allai ouvrir une petite porte métallique,qui

donnaitsur   une sorte de cellier, où, à côté d'une grande étagère remplie de

Mentions légales - Crédits - Code source