II. 49
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
lentement au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant
moi, et je continuais d'apercevoir le couloirqui s'étendait dans l'obscurité en haut des marches qui
s'étendait dans l'obscurité. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et, prenant à chaque fois d'infinies précautions, je commençai à ouvrir toutes lesdeux
portesdes chambres de l'étage, la chambre à coucher des Biaggi* et la chambre d'ami,,une à une, découvrant à chaque fois dans l'obscurité une chambre
parfaitement vide dans l'obscurité.Aucun desLes lits n'avaient été défaits dans aucune des, en réalité,
chambre, et il n'y avait aucune trace de présence nulle partdans aucune des deux chambres,lointaine ou récente, aucun
vêtement qui traînait sur les chaises, aucun livre ni aucunlivre ou journaux sur
les tables de nuit.Il n'y avait personne à l'étage La maisondes Biaggi* était vide, apparemmentcomme inoccupée depuis longtements, depuis l'été peut-être..J'étais certain,
pourtant, que Biaggi* se trouvait dans le village. Mais oùBiaggi* était-il cette
nuit, me demandais-je,puisqu'il n'était pas chez lui, où pouvait-il
bien être cette nuit ? Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit -- Car j'étais certain qu'il se trouvait dans le village --J'???Je poussai Je visitais tout doucement la porte des deux chambres à coucher qui se trouvaient à l'étage de l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'ami, découvrant à chaquefois dans l' une chambre parfaitement vide dans l'obscurité très denseque les volets fermés faisaient régner dans les pièces qui régnait dans la pièce du fait des volets fermés
A l'hôtel.
et qu'il lui arrivait de passerde venir dans sa maison. et qu'il??? depasser régulièrement dans fréquenter sa maison
II. 49
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
lentement au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant
moi, et je continuais d'apercevoir le couloir en haut des marches qui
s'étendait dans l'obscurité. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et je commençai à ouvrir toutes les
portes,une à une, découvrant à chaque fois dans l'obscurité une chambre
parfaitement vide.Aucun des lits n'avaient été défaits dans aucune des
chambre, et il n'y avait aucune trace de présence nulle part, aucun
vêtement qui traînait sur les chaises, aucun livre ni aucun journaux sur
les tables de nuit. La maison était vide, apparemment.J'étais certain,
pourtant, que Biaggi se trouvait dans le village. Mais où était-il cette
nuit, me demandais-je,puisqu'il n'était pas chez lui, où pouvait-il
bien être cette nuit ?
A l'hôtel.
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Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
lentement au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant
moi, et je continuais d'apercevoir le couloirqui s'étendait dans l'obscurité en haut des marches qui
s'étendait dans l'obscurité. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et, prenant à chaque fois d'infinies précautions, je commençai à ouvrir toutes lesdeux
portesdes chambres de l'étage, la chambre à coucher des Biaggi* et la chambre d'ami,,une à une, découvrant à chaque fois dans l'obscurité une chambre
parfaitement vide dans l'obscurité.Aucun desLes lits n'avaient été défaits dans aucune des, en réalité,
chambre, et il n'y avait aucune trace de présence nulle partdans aucune des deux chambres,lointaine ou récente, aucun
vêtement qui traînait sur les chaises, aucun livre ni aucunlivre ou journaux sur
les tables de nuit.Il n'y avait personne à l'étage La maisondes Biaggi* était vide, apparemmentcomme inoccupée depuis longtements, depuis l'été peut-être..J'étais certain,
pourtant, que Biaggi* se trouvait dans le village. Mais oùBiaggi* était-il cette
nuit, me demandais-je,puisqu'il n'était pas chez lui, où pouvait-il
bien être cette nuit ? Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit -- Car j'étais certain qu'il se trouvait dans le village --J'???Je poussai Je visitais tout doucement la porte des deux chambres à coucher qui se trouvaient à l'étage de l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'ami, découvrant à chaquefois dans l' une chambre parfaitement vide dans l'obscurité très denseque les volets fermés faisaient régner dans les pièces qui régnait dans la pièce du fait des volets fermés
A l'hôtel.
et qu'il lui arrivait de passerde venir dans sa maison. et qu'il??? depasser régulièrement dans fréquenter sa maison
II. 49
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
lentement au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant
moi, et je continuais d'apercevoir le couloir en haut des marches qui
s'étendait dans l'obscurité. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et je commençai à ouvrir toutes les
portes,une à une, découvrant à chaque fois dans l'obscurité une chambre
parfaitement vide.Aucun des lits n'avaient été défaits dans aucune des
chambre, et il n'y avait aucune trace de présence nulle part, aucun
vêtement qui traînait sur les chaises, aucun livre ni aucun journaux sur
les tables de nuit. La maison était vide, apparemment.J'étais certain,
pourtant, que Biaggi se trouvait dans le village. Mais où était-il cette
nuit, me demandais-je,puisqu'il n'était pas chez lui, où pouvait-il
bien être cette nuit ?
A l'hôtel.