II. 52
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient de, et je
continuais d'apercevoir percerquelque peu leobscurité du couloir qui s'étendait dans l'obscurité en
haut des marches. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant avant de
m'engager dans le couloir et, prenantà chaque fois d'infinies précautions,
j'entrai je m'engageais je poussaitout doucement tout doucement la porte de je m'introduisis dansles deux la chambres à coucher qui se trouvaient à l'étagedes Biaggi*, la
chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrantà chaque fois unepièce
chambre parfaitement vide
dans l'obscurité.dans l'obscurité, oùrégnait une obscurité d'autant plus
dense que les volets étaient
où régnait une obscurité fermés
très dense, les volets fermés faisaient régner
une obscurité très dense.
Il n'y avait pas plus de trace de présence dans la chambre d'amisque je visitais ensuite, où
personne ne semblait avoir dormi là depuis longtemps, il n'y avait ni
draps ni couvertures sur le matelas, reposait à nu sur le sommier, sans draps ni couvertures.
II. 52
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi, et je
continuais d'apercevoir le couloir qui s'étendait dans l'obscurité en
haut des marches. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant avant de
m'engager dans le couloir et, prenantà chaque fois d'infinies précautions,
j'entrai dansles deux chambres à coucher qui se trouvaient à l'étage, la
chambre des Biaggi et la chambre d'amis, découvrantà chaque fois une
chambre parfaitement vide
Il n'y avait pas plus de trace de présence dans la chambre d'amis, où
personne ne semblait avoir dormi là depuis longtemps, il n'y avait ni
draps ni couvertures sur le matelas,
II. 52
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient de, et je
continuais d'apercevoir percerquelque peu leobscurité du couloir qui s'étendait dans l'obscurité en
haut des marches. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant avant de
m'engager dans le couloir et, prenantà chaque fois d'infinies précautions,
j'entrai je m'engageais je poussaitout doucement tout doucement la porte de je m'introduisis dansles deux la chambres à coucher qui se trouvaient à l'étagedes Biaggi*, la
chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrantà chaque fois unepièce
chambre parfaitement vide
dans l'obscurité.dans l'obscurité, oùrégnait une obscurité d'autant plus
dense que les volets étaient
où régnait une obscurité fermés
très dense, les volets fermés faisaient régner
une obscurité très dense.
Il n'y avait pas plus de trace de présence dans la chambre d'amisque je visitais ensuite, où
personne ne semblait avoir dormi là depuis longtemps, il n'y avait ni
draps ni couvertures sur le matelas, reposait à nu sur le sommier, sans draps ni couvertures.
II. 52
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruit à l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monter
au premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi, et je
continuais d'apercevoir le couloir qui s'étendait dans l'obscurité en
haut des marches. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant avant de
m'engager dans le couloir et, prenantà chaque fois d'infinies précautions,
j'entrai dansles deux chambres à coucher qui se trouvaient à l'étage, la
chambre des Biaggi et la chambre d'amis, découvrantà chaque fois une
chambre parfaitement vide
Il n'y avait pas plus de trace de présence dans la chambre d'amis, où
personne ne semblait avoir dormi là depuis longtemps, il n'y avait ni
draps ni couvertures sur le matelas,