II. 91
qui s'accordait intimement au silence qui régnait autour de moi et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit pendant que je respirais ainsi
à la fenêtre l'air frais de la nuit qui pénétrait doucement dans mes poumons.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et la faible lumière de
la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait
la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine, et je le regardais. Je
rabattis le volet finalement, et allai m'étendre sur le lit, où je demeurai
longtemps les yeux ouverts dans le noir.
II. 91
qui s'accordait intimement au silence qui régnait autour de moi et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit pendant que je respirais ainsi
à la fenêtre l'air frais de la nuit qui pénétrait doucement dans mes poumons.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et la faible lumière de
la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait
la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine, et je le regardais. Je
rabattis le volet finalement, et allai m'étendre sur le lit, où je demeurai
longtemps les yeux ouverts dans le noir.
II. 91
qui s'accordait intimement au silence qui régnait autour de moi et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit pendant que je respirais ainsi
à la fenêtre l'air frais de la nuit qui pénétrait doucement dans mes poumons.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et la faible lumière de
la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait
la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine, et je le regardais. Je
rabattis le volet finalement, et allai m'étendre sur le lit, où je demeurai
longtemps les yeux ouverts dans le noir.
II. 91
qui s'accordait intimement au silence qui régnait autour de moi et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit pendant que je respirais ainsi
à la fenêtre l'air frais de la nuit qui pénétrait doucement dans mes poumons.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et la faible lumière de
la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait
la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine, et je le regardais. Je
rabattis le volet finalement, et allai m'étendre sur le lit, où je demeurai
longtemps les yeux ouverts dans le noir.