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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00147
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  • Tapuscrit

II. 147

 Le lendemain matin, un taxi vintnous me  prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les jambes bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre

sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,qui portait 

des lunettes à verres teintés, conduisait sans dire un mot depuis le départ

de l'hôtel et<d1>ilrelevait???la tête[d1] de temps à autrevers le rétroviseur vers le rétroviseur pour m' pour  et nous observait un instant en silence  observerdiscrètement 

dans le rétroviseur dans le rétroviseur  derrière ses lunettes à verres teintés. J'avais trouvé son numéro de téléphone dans le vieil

annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée

pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'in-

tention de faire quelques courses.

II. 147

 Le lendemain matin, un taxi vintnous   prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les jambes bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre

sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,qui portait 

des lunettes à verres teintés, conduisait sans dire un mot depuis le départ

de l'hôtel etrelevaitla tête de temps à autrepour m'   observerdiscrètement 

dans le rétroviseur  . J'avais trouvé son numéro de téléphone dans le vieil

annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée

pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'in-

tention de faire quelques courses.

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II. 147

 Le lendemain matin, un taxi vintnous me  prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les jambes bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre

sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,qui portait 

des lunettes à verres teintés, conduisait sans dire un mot depuis le départ

de l'hôtel et<d1>ilrelevait???la tête[d1] de temps à autrevers le rétroviseur vers le rétroviseur pour m' pour  et nous observait un instant en silence  observerdiscrètement 

dans le rétroviseur dans le rétroviseur  derrière ses lunettes à verres teintés. J'avais trouvé son numéro de téléphone dans le vieil

annuaire de la réception de l'hôtel et je l'avais appelé en début de matinée

pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'in-

tention de faire quelques courses.

II. 147

 Le lendemain matin, un taxi vintnous   prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les jambes bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre

sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,qui portait 

des lunettes à verres teintés, conduisait sans dire un mot depuis le départ

de l'hôtel etrelevaitla tête de temps à autrepour m'   observerdiscrètement 

dans le rétroviseur  . J'avais trouvé son numéro de téléphone dans le vieil

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pour qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'in-

tention de faire quelques courses.

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